Mi-a-o !
La suite
Vendredi 23 septembre 2016
Je quitte Hengchun et son parc national pour la ville de Taitung qui se trouve à 125 kilo, d’après la map de gogole.com
Je continue ma remontée vers le nord ou je pense arriver a Taipei, la capitale, pour samedi 01 octobre.
Je serais sur place en début d’aprèm, pile poil à l’heure du déjeuné.
A l’hotel,
24euro la nuit, sdb, air con, teloch, bouillote.
Le gars de la réception baragouine le rosbeef. Aussi gentil qu’il est, me propose une carte de la ville avec les endroits a visiter et les bons plans restau.
Tieng ! A ce sujet, je lui explique qu’il est totalement impossible de se faire comprendre pour la boustifaille quand tu décides de t’arrêter dans une gargote, pour cause, personne ne parle l’anglais.
Il me rendra service en écrivant sur un bout de papier, en chinois, soupe de nouille ou bol de riz. Un bout de papier que je vais garder précieusement pour la suite des événements.
Je passerais le reste de la journée a fouiner.
Taitung possède un airport qui abrite un autre corps d’armée….
Ici, un « pervenche » qui contrôle ou empègue….
…. et le reste de la journée !
Samedi 24 septembre
D’après les conseils de mon hôte, ce jour, je file faire une balade plus au nord, toujours en longeant la « sea side », l’océan Pacific, voir des villages autochtones.
Le lien wikipedia qui va bieng si cela te botte.
Bien évidemment, je reste a l’affût du moindre sujet photographique que mon zeuil sera seul maitre a me guider.
Comme par ici, des touristes Taiwanais ? Qui shootent un lieu ou se trouvent des crabes ! Ou d’autre en train de pecho.
Ah ! Aujourd’hui, nous sommes en week-end et pour certaing, comme chez nous, les motards en profitent pour aller rouler. J’en croiserais pas mal ce jour la, d’univers tout autant variés, allant de la grosse Goldwin au club d’Harley en passant par l’hypersportive Ducati, Bm et j’en passe.
Lorsque j’arrive aux abords d’un village, j’entends un gars qui parle dans une sono, perfectible depuis la route. Kézaco ?
Il s’agit d’un rassemblement de ce peuple autochtone ancestrale qui perpétue ses traditions autour d’une sorte de kermesse avec démonstrations de danse en costume…
Comme d’hab, si tu es curieux, le lien wikipedia qui se trouve un peu plus haut. 😛
J’y passerais un petit moment fort agréable le temps de m’imprégner de l’atmosphère, de me « fringaliser » vite fait et de boire ma première bière locale depuis 8 jours que je suis sur le territoire.
Un record ! De diou !
Je reprends la route à nouveau vers le nord, dans l’inconnue.
Ma persévérance aura enfin payé puisque je suis tombé sur LE port de pêche, celui dont j’espérais un jour sur l’ile qui m’offrirait le moment ou le poisscail débarque.
Un moment particulier a vivre dans ces contrées. C’est toute une effervescence qui s’agite autour de ce met qui va devenir de plus en plus rare a l’avenir….. et moi, moi j’aime être un spectateur insatiable de cette ambiance si particulière.
Par ailleurs, si tu suis mes carnets, tu dois savoir que je ne manque jamais l’opportunité de m’incruster dans ce milieu maritime.
Apres, il sera temps de reprendre le chemin du retour sans pour autant m’empêcher d’aller fouiner.
Le soir venu, un petit tour au marché de nuit ou on ne trouve que des vendeurs de bouffe a consommer sur place ou emporter, et des stands de jeux pour enfants ou grands enfants.
Dimanche 25 Septembre.
Ballade improvisé dans les montagnes, pour je ne sais ou ; au feeling.
Ici, le fleuve qui vient de la montagne et sur la droite, la ville de Taitung.
Au kilometre 20 de la journée, le voyant rouge du compteur s’allume, m’indiquant qu’il y a le niveau de l’huile du moteur a faire ?
Depuis le jour de la location du scoot, voila une semaine, j’en suis a 800 kilometres de roulage. Mon loueur m’a signifié qu’il fallait faire la vidange tous les milles kilo, il en manque 200 a faire. Dois je suivre les conseils du loueur ? Hum…
Je ne vais pas attendre d’y arriver, préférant faire la vidange pour ne risquer aucune bévu, ce qui me permettra de juger du niveau restant dans le carter pour voir si je pouvais rouler encore 200 kilo.
Le mecano me confirmera que la prochaine vidange devra se faire dans 1000 kilo.
Je file, a l’arrache, jusqu’à ce que je tombe sur un site touristique, le fort « jesaispakoi ».
Si tu lis l’anglais tu comprendras, sinon, pour te résumer vite fait qu’il s’agit d’une batterie de tir avec des canons RUSSES datant de 1903, lorsque les japonais occupèrent l’ile.
80 kilometres pour arriver jusqu’ici, demi- tour, je rentre à la casa.
Sur la route je croiserais un enième lieu artistique.
Et un peu plus loin, un lendemain de fête, un mariage surement et ou l’un des invités ? Etait venu avec sa charrette.(Lamborghini)
Que je croiserais quelques kilo plus tard, tambour battant….
Pour terminer ce séjour à Taitung, j’irais mettre à jour mon blog dans un café en y croisant un animal de compagnie bien particulier.
Lundi 26 septembre.
Je quitte Taitung de bonne heure (8hrs) puisqu’aujourd’hui un long chemin m’attend. Je rejoins la ville de Hualien qui se situe a 170 kilometres.
Il ne se passe pas 10 kilomètre que je sens ce trajet pénible de part le fait qu’il y a un vent a décorner….et a en juger l’état de l’océan pacifique qui s’abat sur les plages. Ca fouette velu, cela m’oblige a controler mon destrier comme je peux….
Mais j’ai un bon rythme et en une heure je me débarrasse des premiers 55 kilometres du trajet.
J’avais pensé arriver vers 13hr, il en sera pour 11hr30 sauf que…
La, une église en forme de bateau totalement originale. Construite en plein bourg, je n’ai pu en faire le tour pour te montrer la poupe.
Ici, j’attaque le point central de l’ile, celui qui sépare le nord du sud par des climats totalement différent, par le tropique du Cancer.
Lorsque j’etais a Hengchung, l’hote de mon B & B me disait qu’il etait en tshirt toute l’année, alors que de l’autre coté de l’ile, au nord, à la capitale, ce n’est pas du tout le cas.
Une tour est la pour marquer le coup.
…. Sauf que, avant d’arriver au kilometres 130, j’ai eu un gros soucis mécanique.
En sorti de virage, la roue arrière se bloque, heureusement que je ne roulais pas vite, puis le moteur s’éteint.
Impossible de redémarrer. Il y a comme un blocage.
Cela ne vient pas du moteur, j’ai fait la vidange hier, le voyant d’indication de niveau est bon et aucune perte. Vu le bruit que cela fait lorsque je tente le démarrage électrique ou au kick, je pense a un problème de transmission.
« Ouais mais « penser » c’est bien beau zeb ! Encore faut-il pouvoir trouver un réparateur ? »
D’autant que je suis en pleine cambrousse, en bord de mer ou il n’y a pas grand chose entre deux villages.
Je commence a pousser lorsque très vite je me rends compte de l’inutilité, aussi, des que je croise un deux roues a ma porté, je lui fais signe de s’arrêter.
Et c’est sur une dame d’un certain age qui a la gentillesse de venir à mon secours.
Je lui explique avec mon langage youyou le problème et très vite elle prend son tel pour appelle kékun. Lorsqu’elle raccroche, youhou oblige, « on viendra dans une demi heure » qu’elle me dit.
Merci madame !
Oui il y a de la solidarité entre motard, n’en déplaise a certaing, la motardie est un art de vivre…..meme si on est entre scoot 😛
Me voila peinard en train d’attendre en plein cagnard la suite des événements. Bizarrement, je ne ressent aucun Stress. Cela dit, je n’en suis pas à mon bizutage en matière de couilles mécanique ou autre anicroches lors de mes aventures, je sais qu’il y a toujours moyen de moyenner.
Et puis c’est le jeux ma pov’lucette !
J’’espère juste que ce n’est pas grave, que je vais pouvoir continuer mon trip auquel cas, j’appellerais mon loueur et nous improviserons une solution de rechange.
Un peu plus tard, je me retrouve au mecanic shop ou le diagnostic sera vite établi après deux coups de visseuse a air comprimé, c’est la courroie de transmission qui a laché.
Ayant eu quelque scooter a mon actif, en France, je sais qu’elle se change tous les 20000 kilo, il a fallu que cela tombe sur moi…..45 euro de pièces et main d’œuvre !
Je reprends la route 1hr30 plus tard pour finalement arriver à destination finale vers 13hr30
C’est balo, j’avais vraiment un bon rythme…..
A l’adresse indiqué de mon B&B (bed and breakfast) réservé, je trouve porte close.
Comme je connais désormais la gentillesse des Taiwanais, je vais voir le salon de thé voisin pour en savoir plus. Le langage « youhou » oblige sera vite stoppé, elle me répond en anglais !
Ya des fois, jte jure, je me retrouve comme un con avec mes gestes 😛
Du fait, je lui montre une photo que j’ai prise sur la porte d’entrée, un morceau de papier avec un texte en chinois, j’imagine que c’est une indication du genre « je reviens dans 5 minutes » ?
La dame me repond que la proprio sera au bureau vers 15 hr !
Je lui demande s’il serait possible de l’appeler ? Car je n’ai pas de carte Sim.
Vraiment gentille, et la proprio arrivera dans les 6 minutes suivantes.
Pendant ce laps de temps, j’apprendrais qu’il y a un typhon qui s’annonce dans les prochaines heures !
« Un typhon ? taing ! Je comprends mieux maintenant les bourrasques de vent et l’état de la mer »
Ce que me confirmera ma proprio m’expliquant que demain, il sera impossible de sortir puisque des vents de 195 kilo sont attendus, c’est dire !
Je lui rétorque que c’est l’occasion pour moi de battre un record de Run, le vent dans le dos, je ne pourrais jamais courir aussi vite dans ma vie de zébulon.
Plaisanterie à part, cet imprévu remet en cause l’objet de ma visite sur Hualien, Les gorges de Taroko et ses falaises de marbres, principale attraction touristique du coin.
Elle m’indique la direction et le temps que cela me prendra si je veux y aller pour maintenant ? J’en ai pour une heure.
Il est 15hr, je gaaaaaaaaaaaaaaz ! Avec ma nouvelle courroie !
Mais pas trop vite, les controles de vitesse sont fréquent.
20 bornes plus, tard, changement de climat, de décors, les gorges de Taroko.
« L’un des premiers Occidentaux à s’y rendre et à en admirer la splendeur, le photographe britannique John Thomson, explora Taiwan en 1871 et offrit une très belle description des gorges de Taroko : Nous nous arrêtâmes pour admirer l’indicible beauté de cette gorge de montagne et pour en prendre une photographie, regrettant profondément d’ailleurs que la plaque sensibilisée ne pût reproduire que les teintes d’ombre et de lumière, sans aucune des couleurs variées qui diapraient de leurs éclatantes ou sombres nuances les rochers, les mousses, les plantes grimpantes, les masses de feuillage parmi lesquelles se jouaient les rayons du brillant soleil »
Wow ! quelle belle écriture digne d’un grand littéraire que je me devais de reproduire, pour relever un peu le niveau de mes carnets 😛
Je n’ai pu faire que 10 kilomètres de viroles dans cette fabuleuse vallée car il a fallu rebrousser chemin pour la simple et bonne raison que la route est en travaux et qu’il fallait attendre 40 mn avant la réouverture.
Si tu veux en savoir vraiment plus sur le sujet, ca vaut le détour, va voir par ici
Je rentrerais en fin d’aprem.
Mardi 27 septembre
Rien de rien
Aujourd’hui avait lieu le passage du typhon de taille moyenne….tout est relatif !
La veille au soir, la patronne des lieux m’annonça qu’a cette occasion, elle fermerait le rideau de sa façade pour protéger la vitrine d’entrée et donc, impossible pour ma pomme de voir quoi que ce soit dans la rue vu que ma fenêtre donne dans une ruelle cloisonnée.
De toute façon, je pense que j’avais besoin de cette journée de glandouille puisque je me taperais une migraine lancinante. Est-ce le corps qui revendique sa part de repos et balance un signe ?
J’ai roulé un peu plus de 1100 kilo depuis la location, je n’arrête pas ! Pour autant, l’esprit, lui, reste intact, toujours soif de découverte. Tant qu’il y a de la vie !
Une vidéo qui va bien te permettra de mieux situer, si tu n’as pas vu les news.
Le vent a 195km/hr, je l’ai bien entendu…
En fin d’aprem, je profiterais de la venue de mon hôte pour jeter un œil dehors et voir si mon scoot a bien résisté.
Autre chose, j’ai envoyé un mail a mon loueur pour lui signifier la panne mécanique et le cout. Nous avions convenu que l’entretien du moteur était pour ma pomme mais pas le reste et c’est dans cette optique qu’il m’a rassuré sur le remboursement a suivre. Quand je te le dis que j’ai eu un très bon feeling.
Mercredi 28 Septembre
Il a plu toute la nuit comme vache qui pisse mais selon la météo, le plus gros du typhon serait arrivé en chine.
Vers 8hrs, je n’entends plus de pluie depuis bien une heure, j’en profite pour aller tater le terrain.
Du coté des montagnes, le ciel est très chargé mais du côté de la mer, il aurait tendance a s’éclaircir, je pars en excursion essayer de rattraper le retard, a dire, la visite de la ville que je n’ai pu faire la veille.
L’armée en bonne aide..
La, les hommes qui repartent en mer…
Deux heures plus tard,, la flotte reprend. Il faut croire qu’il y a encore des reliquats du typhon.
Je profiterais du petit abri qui se trouve en début de plage pendant presque l’heure, avec mes comparses du moment jusqu’à la légère accalmie, mais alors vraiment légère puisque je ne ferais pas fait 500 mètres qu’il retombera a gogo !
Cette fois, s’en est trop ! Samerlipopette ! J’enfile mon pocho de combat delamortquitue en plastique et gaz sous la flotte.
Quelques kilometre plus loin, je m’arrête pour le déjeûne lorsque je vois des images de boustifaille sur la devanture d’un shop.
C’est la technique la plus simple si je veux grailler sans me prendre la tête. S’ils ne parlent anglais, ce qui est quasiment toujours le cas, je n’ai qu’a montrer du doigt ce que je veux…et dans le dernier recours, montrer mon bout de papier…
Sur la tof ci dessous, tu peux voir qu’a Taiwan, ce genre de machine a couillon est un vrai buisness alors que chez nous, je ne sais même pas si cela existe encore dans les fêtes foraines ?
Apres le repas, rebelotte….j’attendrais encore un moment avant de reprendre la route, profitant de ce moment pour shooter le vécu.
La pluie ne cessera qu’en milieu d’apres midi ou je ressortirais pour enfin voir une lueur d’espoir, un rayon de soleil, un éclairci ?
Que néni, puisque le soir venu, ce fut encore des trombes d’eaux avec intermittence qui m’ont permis d’aller diner et regouter ses fameuses spécialités culinaires cuite à la vapeur.
Jeudi 29 Septembre
Je quitte Hualien dans la matinée profitant de l’arrêt des hostilités humide de la nuit. Normalement, aujourd’hui devrait être un jour sec selon miss météo.
Direction la région d’Yilian et plus précisément, le village de Wujie qui se trouve à environ 110 kilo.
Depuis que j’ai quitté Kaohsuing le 21 dernier, c’est le plus beau parcours traversé.
Comme tu as pu voir sur les tofs, la route passe a travers montagne, pas moins de 11 tunnels dans un décor magnifique.
J’imagine les travaux de titan pour batir ces routes, tunnels etc…
Bref, lorsque j’arrive en début d’aprem a proximité du village, ma carte routière électronique me fait toujours autant bonne impression. Heureusement, les Taiwanais ont la bonne idée d’indiquer chaque routes, rues.
Je découvre un lieu parsemé de rizières et quelques habitations qui dénotent totalement de la généralité. Cela dit, depuis que je suis sur le sol Taiwanais, je sens une culture traditionnel mélangé au modernisme artistique qui me plait, j’en veux pour dire les nombreux endroits culturelles croisé qui exposent des œuvres diverses ou encore les peintures de rues, l’architecture contemporaine n’y échappe pas.
Le B & B ou je me pose ne parle pas un mot d’anglais et me fait la conversation minimum avec son application gogole. Impatient, s’abstenir. LOL
Xiang feng B & B
86 xiaowei road, Wujie township, Yilan.
25 euro, sdb, clim, teloch, wifi, breakfast.
Je pose mes bagages et repart illico profiter des derniers moments avant la tombé de la nuit.
Le soir venu, j’irais diner a quelque kilometres, au marché de nuit de Luodong, la ville voisine, qui abrite une enseigne, un clin d’oeil qui me rappelle ma culture, mon pays….
Vendredi 30 Septembre
A Wujie, il parait qu’il y aurait pres de 400 especes Taiwanaises d’oiseaux qui se retrouvent ici durant la période de migration ?
« C’est aussi l’une des rares région de l’ile à faible relief. Les étendues de plaines ont favorisé le développement de l’activité agronome, en particulier la production maraichère et la culture du riz. En pénétrant certains villages, le visiteur fait un bon en arrière dans le Taiwan du début du siècle ; des pays récoltent encore le riz selon la méthode traditionnelle, à la force de leur bras et de celle de leurs bœufs. »
Un bon en arrière, avec un mélange de contemporain….j’adore !
Today, aucun objectif, je continue a partir a l’arrache comme depuis le début de mon voyage. Je laisse à l’imprévu total.
A Luodong, il y a marché matinale dans son dédale de ruelles, l’idéal pour shooter du personnage.
Je zonerais toute la matinée dans le secteur ou en dehors jusqu’à ce que finalement je rejoigne le petit port aperçu hier, sur les hauteurs, lors de mon arrivée.
Hier il y avait pas mal de vent sur la cote et depuis la route sur le versant de la montagne j’ai pu apercevoir des « kites surfer », tu sais, ce sont des surfers qui utilisent une voile qui les tracte, sur cette plage. Aujourd’hui, il n’y a que très peu de vent…dommage.
Je me rabattrais sur le port de pêche avec son énorme quantité de fisher boat. De mémoire, c’est le plus gros visité depuis mon arrivé sur l’ile.
Il y a même ceux de la marine nationale….
7hrs assis sur le scoot, je rentre, il faut penser a demain et mon départ pour la capitale, j’ai nommé, Taipei !
Voili voilou pour cette nouvelle semaine assez mouvementé et les derniers clichés du moment.
A suivre.
Take care.
Sissi
Merci pour tes jolies photos et toute ton aventure que je dirai bien mouvementé cette semaine apres avoir vecu en live ce typhon..
Khapoun kha my best friend
Dolce vita
Super Cricri.
Tes récits et tes photos sont toujours excellents
Marco
Super Chris, le King du scoutaire …
Pis tu me donnes faim avec tous ces plats toffés.
Profite !
Esquiaou
Tes récits et photos sont un émerveillement, Il n’y a pas d’autre mot, les photos ont atteint une qualité qui n’a rien à envier aux meilleurs reporters photographes. On se sent privilégiés d’être sur ta liste de contacts. Un grand merci, Christophe.
J.
Eric V.
Et béééé, c’est encore un beau trip que tu te fais !!!
Et toujours de très belles photos 😉
à bientôt
Roy
Continu à avoir le vent en…poupe. Les gorges de Taroko sont une merveille. Je reste dans l’impatience de nouvelles photos. je « Bise » les copains « gym & moto » de ta part. Salut Frérot. Roy.