Domingo 21 Febrero.
Ce matin, je fuis Varadero ! Enfin !
Pour rejoindre la gare des bus qui se trouve à 1km500, je quitte la casa a 6h37 AM…. à pieds ! Quoi de mieux pour débuter une bonne journée ? Un peu de sport pardi ! Une petite randonnée pédestre me mettra en forme …..euh….
6hr57, je suis sur place….j’aurais pas cru y être aussi vite.
8hr, le bus quitte la ville en direction Vinales, un village qui se trouve à 330 kilo.
En cours de route, nous nous arrêtons dans un centre « boustifaille » pour le repos obligatoire des chauffeurs; la porte d’entrée du plein Ouest.
Nous arrivons à destination finale aux alentours de 16hrs.
Lorsque j’arrive à la casa que nous avions réservé, le proprio m’annonce en anglais que cela n’a pas été fait !
« heing ???!! Pourtant, hier soir tu as confirmé par téléphone la réservation, non ??? » (J’avais fait appeler mon hote de Varadéro) Mais bon, passons… (pratiquer le « lacher prise », tu connais ?)
« On va s’arranger, suis moi…. » ….. chez la voisine !
Casa Coloma, chez Myriam et Roberto qui m’informent ne pouvoir m’héberger seulement que deux nuits, alors que je compte en passer 3 dans le secteur. Aie !
« Tranquillo » dixit Roberto, on va se débrouiller.
(Tranquillo : traduit littéralement par Calme, autrement dit : no stress, c’est un synonyme qui va souvent revenir dans ce compte rendu)
25 cuc la chambre, 4 cuc le ptit dej, entre 8 et 12 « la comida » (diner) selon ce que tu commandes alors ce soir, ce sera langousta pour 12 cuc. Ma fois ! Histoire de …lacher prise.
Apres un petit débriefing avec Myriam, qui est prof de chimie ne parlant pas l’anglais, d’ailleurs a ce sujet, mon espagnol qui parle comme une vache française du limousin, est toujours en bonne progression.
Cela en est même étonnant.
Je me souviens de mon arrivé à La Habana, le 3 février dernier ou je ne savais dire que « Cerveza, por favor, gracias, buenos dias, uno, dos…. » seulement quelques mots. Aujourd’hui j’arrive a débiter pas mal de vocabulaire, tout du moins, assez pour ce faire comprendre.
Néanmoins, il va falloir apprendre la conjugaison.
…..Je file visiter un peu le village pour trouver le loueur de scoot….. closed.
Lunes 22 Febrero 2016
Vinales , le petit village.
« Pour arriver a Vinales, on traverse la verdoyante vallée du même nom, dans un paysage hérissé de monticules rocheux, ce sont les mogotes. Ces curieux pains de sucres calcaires forment la toiles de fond du paysaje….de part et d’autre des champs de tabac, les casas de tabacco….cette plante ancienne fait encore vivre des milliers de familles de la région mais il est a noter que la région de Vinales ne produit pas un aussi bon tabac que celle de Pinar Del Rio »
Ce matin, sous les conseils de Roberto, je pars de bonne heure voir le loueur de scoot pour espérer en avoir un ? Il n’en posséderait pas beaucoup et vu le succès touristique de la cité…
Heureusement, l’épisode de Trinidad ne s’est pas répété, tu te souviens ? J’ai pu en avoir un. Location pour deux jours, 40 cuc !
Pour info, il parait qu’il y a un autre loueur qui se situe à 2kms du village.
Enfin, après 20 jours de marche non-stop, me voila libre de mes mouvements et sans retenu, je vais pouvoir tracer la route à ma guise sur ce petit 50CM3 de marque coréenne.
Direction Puerto Esperanza et Palma Rubia
La une fabricacion de cigares…. Evidemment, interdiction d’y pénétrer.
On the road, un panneau m’interpelacioné….
Intiendo ? (comprendé ? )
« heureuse fin d’année, le monde qui pleure avec Paris. Non au terrorisme, nous sommes pour la paix »… voila ce que j’en ai traduit sur le bord de la route, c’est beau non ?
Les transports en commun.
Je n’en ai pas encore parlé, il me semble ? si ? non ? tu suis ? Bon et bien au risque de me répeter, juste un mot. A cuba, les bus ne sont pas légion, il y a ceux pour les touristes (Viazul, Transtur), il y a d’autre compagnie (une ou deux) pour les cubains entre les grandes villes mais pour ce qui est des dessertes à la campagne, c’est une autre histoire.
Ainsi, tu peux voir des camions benne comme ceux-ci initialement prévu pour le transport de matériels etc, aménagé ou pas, pour le transport de personne. Il y a même des semi-remorque (je crois que je t’ai mis une photo sur le précédent Carnet ? ).
Cuba se débrouille avec les moyens du bord, c’est pourquoi, les vieilles Américaine sont bichonnés au maximum, qu’on élèvent le chwal pour les transports et non pour des jeux de pari ou de sport etc …la liste est longue.
La, derrière la chaine de montagnes de « Karst », le village de Vinales.
Aujourd’hui, j’avais trois impératif,
- Location du scoot
- Retirer du fric
- Me renseigner sur ma prochaine destination.
Le point n° 2 était LA grosse priorité du jour.
Il y a une banque à Vinales, sans distributeur. Ce matin quand je suis passé devant et que j’ai vu el mondo faisant la queue à l’extérieur, dont pas mal de touriste, j’ai préféré tracer la route « Tranquillo » et remettre ça ….dans une autre ville ?
Donc cet aprèm, au retour de ma balade, je me suis arrêté au village de « la Palma » puisqu’il y a la même banque que sur Vinales, toujours sans DAB, néanmoins, aucun touriste. Il suffit d’aller voir un guichetière, tu files ta visa card, le passport et après quelques paperasses, tu as le fric dont tu as besoin. Olé !
Pour le troisième objectif, je me suis arrêté à l’agence de voyage « Cubanacan », à Vinales, qui propose des billets de mini-bus et de nombreuses excursions touristique comme :
Journée chwal, pédestre, playa, bucéo (plongée) etc
A propos de la plongée.
J’avais l’intention de finir mon voyage à Cuba par la pointe Ouest de l’ile, à Maria La Gorda (la grosse). C’est un site archi connu du monde de la plongée et qui recèlerait des trésors de flore.
Le hic, c’est qu’il n’y a pas de bus direct et qu’il n’y a qu’un hotel en bord de plage avec les tarifs qui vont bien (70 balles minimum). J’avais espoir que la casa ou j’allais loger sur Vinales connaisse une amie d’un ami …tu connais le refrain, mais Myriam ne connait dégun.
En revanche, « Cubanacan » propose une excursion à la journée en mini bus qui te dépose à l’hotel, ensuite tu as le choix de lézarder sur un transat avec un bon cocktail, profiter de la plage ou faire de la plongée sous-marine jusqu’en fin d’aprem puis le retour sur Vinales.
- Tarif du transport : 41cuc (euro)
- Tarif de la plonge : 35cuc auquel il faut rajouter 14cuc pour le matos, que je n’ai pas.
Rendez-vous est pris pour Mercredi.
Par contre, une problématique se pose, j’ai rajouté une nuit supplémentaire sur Vinales…
En rentrant à la casa, j’explique mon cas a Myriam et Roberto chez qui je n’ai que deux nuits de logement, demain matin, je dois partir de chez eux ! Pour ou ? No lo sé !
Tu connais la suite, l’amie d’un ami, de la voisine, de la mère de….
L’affaire ne fut pas aisé pour autant, ce fut même un peu stressant pour tout le monde.
Myriam avait beau appeler ses contacts pour m’héberger mais elle ne récoltait que des réponses négatives. Roberto, me répétera souvent »tranquillo », autrement dit, on va se débrouiller ou comment maitriser l’art du lacher prise.
Mes hotes m’expliqueront que le village compte 875 casa particulares, que chacune a en majorité 2 chambres a louer, que nous sommes en haute saison, que le village est super touristique (effectivement, j’ai vu ça), que c’est « full booked » et que donc, « c’est la merdia pour te trouver une chambre, amigo. »
Finalement, l’amie se trouve en dehors du village, à 2km500. Ouf ! Pani problème, je suis en scoot.
Donc, petit conseil si tu débarques dans le secteur, ne viens surtout pas sans réservation au risque de te retrouver dans la panade.
Je ressortirais prendre quelques shoot avant que la pleine lune n’arrive.
Mardi 23 février 2016
Ce matin, donc, je laisse mes bagages chez Myriam et Roberto jusqu’à ce que je revienne de ma balade du jour.
Apres le ptit dej servi sur le toit de la piole, direction, la région de Pinar Del Rio, plus particulièrement « le triangle du tabac »
« A une vingtaine de kilo, au sud de Pinar, les villages de San Luis et Sans Juan y Martinez constituent le cœur du triangle du tabac . Dans ce petit morceau de territoire cubain au climat privilégié se trouve les meilleures terres à tabac de Cuba….et par conséquent du monde ! »
S’il y a bien une plantation a visiter c’est bien celle d’Alejandro Robaina, la finca El Pinar.
Les amateurs de cigare cubain savent de qui je parle et pour les autres, « c’est par ici »
La visite coute 2 cuc, on y apprend pas mal de chose sur la plante, le processus et les étapes de séchage, enfin un vieux de la vieille du métier nous fait une démonstration sur la fabrication du cigare.
J’apprendrais aussi qu’une bonne « couturière » des feuilles de tabacs, peut se gagner jusqu’à quatre fois plus que le salaire d’un médecin !
La remarque pertinente d’un touriste espagnol : « en Europe, les salaires des postes à responsabilités sont tirés vers le haut et ceux des métiers d’ouvrier, d’agriculteur vers le bas alors qu’a Cuba c’est tout le contraire. »
Le guide, parle aussi en Franchich.
La production des Robaina fait partie de l’excellence Cubaine mais n’appartient plus à la famille depuis la révolution, c’est l’Etat (la famille de l’autre) qui rachète toute la production au prix qu’il décide………………ouaiiiiiiiiiiiiiiiis, viva la revolucion !
C’est pour cela que quasiment toutes les fabriques de cigare sont regroupé à la capitale. Ainsi, les ronds de cuir décident si tel ou tel plantation bénéficiera du montage à la main ou à la machine et du mélange des plantes (un peu comme du vin). Le prix de revente sera établie en fonction de la qualité.
D’après le guide de la plantation, le cigare le plus chéros se négocie aux alentours de 30euro l’unité. Rien que ça ! Perso, à ce prix la je préfère une bonne bouteille de pinard ….mais bon, chacun son truc heing.
Après ces explications, nous visiterons la demeure familiale des origines avec ses quelques souvenirs photographique, dont celui du patriarche, décédé a 92 ans, accompagnée d’Obélix. Tu le vois ?
92 ans, en fumant des cigares !!!!???? « Oui, mais il ne faisait que « crapoter » dixit le guide.
1 cuc de pourboire pour ce sympathique bonhomme qui, vu l’age, a bien roulé sa boss….en retour, il me filera un cigare rouler par ses soins. gracias.
visite intéressante pour ma pomme.
Ensuite, je file sur San Juan pour n’y voir rien de spécial a part subir quelques tentatives d’harponnage de certains pour aller visiter les plantations. « Oh sénior, sénior…. »
Quand je reviens sur Vinales, El tiempo (le temps) est plus clair que ce matin, j’en profite pour continuer mes découvertes en plein cœur des montagnes de karst.
Fin d’aprèm, je chargerais le petit scoot de mon barda direction la nouvelle casa pour deux nuitées.
Je quitte Myriam sous l’accolade et le bisous tellement mérité. La aussi, note bien son adresse que je t’ai filé plus haut car c’est une super personne, super gentille, super serviable, super cuisinière, super super super super !
Plus tard, je débarque chez Amarilla et Ricardo avec leur deux enfants. Elle est coiffeuse et a son salon sur le derrière de la maison. Il est ouvrier.
25 cuc la chambre, 4 cuc ptit dej et selon pour « la comida » malheureusement je n’ai pas de carte de visite a te partager, dommage cela méritait vu l’accueil que j’ai reçu. Famille très agréable.
Amarilla se faisait un sang d’encre car ils ne parlent pas anglais, aussi, elle avait demandé a sa belle soeur qui se débrouille en langue « roosbefienne », de venir m’accueillir. Ils n’ont pas l’habitude de recevoir des touristes, mais je les rassurerais très vite en leur expliquant que « yo estudio » (j’apprends) leur langue et c’est justement en dialoguant normalement que les progrès se font. L’immersion totale, il n’y a rien de mieux.
Une fois installé, j’irais profité de la lumiere du soleil couchant.
Miercoles 25 Fébrero 2016
Rendez-vous prévu a 6H30 chez le loueur de scoot pour rendre l’engin avec qui j’aurais parcouru 320 kms en deux jours…. Mon séant porte encore les stigmates car 25km/hr de moyenne, ça use.
A cette heure-ci, seule les écoliers et les locaux allant au boulot sont présent sur la place du village qui est habituellement « cafi » de touristes.
7hrs du mat, le minibus quitte le village en direction de Maria la Gorda, environ 180 kms en 2H30.
Comme prévu, il nous dépose à l’hotel qui fait office de centre de plongée « El centro del buceo mundial »
Tu payes ta plongée, tu fournis tes certificats de plongeur, signes les documents de décharge, récupère le matos…ETC
Un petit 28 mètres et 42 minutes sur le site « d’El Almirante »
4 mois que je n’avais pas mis la tête sous l’eau, je dois dire que payer 49 balles pour cette reprise dans le monde du silence fut magique, oune regalado !
Pas énormément de faune, quelques poisson Baliste par ci, un Barracouda de la, mais surtout un magnifique tombant piquant a 300 mètres, d’énormes éponges, des coraux à profusion dont les superbe corail noir et corail cerveau. J’aurais aimé voir un corail corne d’Elan mais bon…
Comme une quiche que je suis, j’avais oublié ma cam sous-marine en quittant la Provence …… dommage !
A l’heure ou j’t’ecris ce texte, j’en garde un excellent souvenir. Après avoir plongé en Egypte, Indonésie, Malaisie, Vietnam, Thailande, Sri Lanka, Mexique et accessoirement Ibiza, Cuba est certainement une de mes plus belles plongées.
L’après-midi sera consacré au farnienté sur la playa, le transat….
17hr, nous rentrons sur Vinales et nous mettrons 3hrs de route avec des trombes d’eau pour nous accueillir.
Selon, Ricardo de la casa, le temps devient fou car normalement ce n’est pas la saison des pluies.
Finalement, aller à Maria la Gorda pour la journée était une bonne opération « financière » pour mezzigue. De mon point de vue, mise à part la plongée y a quoi d’autre a faire ? Ah c’est vrai, la plage….
Jueves 26 Febrero 2016
Lorsque nous avons planifié mes étapes avec Loly de la Havane, la dernière semaine avant de remonté à la capitale devait se composer de 3 nuits à Vinales et 4 nuits à Maria la Gorda mais si tu as bien suivi, il y a eu changement de plan….c’est ce qui fait le charme du voyage en « routard », aucun impératif, aucune obligation sauf celle de ne pas manquer le vol de retour au pays, quoi que…
L’étape de Maria « la grosse » ayant été abandonné, comment organiser les 4 nuits qu’il me reste dans ce plein Ouest verdoyant de Cuba ?
Après avoir envisagé plusieurs solutions, finalement, je déciderais d’aller passer deux nuits à Pinar Del Rio, qui mérite une journée de visite. Pour les deux nuits restante, Myriam me conseillera d’aller à Las Terrazas qui est sur le trajet du retour à la Havane, de plus, l’étape est desservie par la compagnie de Bus, Viazul. Olé !
Muy Bien. Perfecto ! Las Terraza ?
Sur le book, l’endroit est une destination « verte » avec très peu d’info sur les logements, il n’y a qu’un hotel ? Pour autant, tu connais très bien mon proverbe Cubano, « l’amie d’un ami, de la sœur …. »
Maintenant que tu en sais plus sur la suite de mon voyage, ce matin, direction Pinar del Rio.
Aux alentours de 10hr, un taxi, un ami de la famille de Ricardo vient me chercher à la casa et me laissera au centre ville de Vinales.
- Voyage en Américano old classic.
Le premier taxi, une Chevrolet de 52, complètement d’origine y compris le moteur (un V6), me laisse à l’intersection ou les taxis « Collectivo » passent pour aller sur Pinar pour 1 CUC la course (si tu payes 1 cuc sup, il te dépose a l’adresse que tu veux)
Pour info, le buz Viazul coute 6 Cuc et te laisse à la gare.
Me voila sur le bord de la route, faisant signe à des taxis de me charger. Au bout de 20mn, l’un d’entre eux s’arrête, il reste une place a bord.
Une Buick de 1950, moteur diesel….Toyota ?
Puterelle la Caisse ! Forcément, ce n’est pas le genre de bagnole qu’il faut brusquer mais sacré plaisir tout de même, tu sens encore les ressorts de la banquette arrière d’origine.
A Pinar Del Rio, je discuterais un peu avec le chauffeur lorsqu’il cherchera l’adresse de mon logement. Sa course habituelle n’est pas celle que nous venons de faire (30kilo) mais La Habana, aller/retour, un trajet qui fait environ 360 kms/jour avec une BAR (boite a roues) qui a 66 ans !
Je descendrais à la Casa Maury, la calla Virtudes 186 ;
Mauryta est très sympa mais son mari, un peu trop réservé, cela me change des adresses précédentes….à moins qu’il n’aime pas ma tronche ?
25 cuc la nuitée, 4 cuc le desayuno (ptit dej) et entre 8 et 12 cuc le diner.
C’est le début d’aprèm, je file faire un tour direction la gare de bus.
Pas loin de la casa, une affiche m’interpelle…
Il y a des rebelles dans le coin.
A la gare, j’irais au bureau des réservacion de la compagnie Viazul pour l’avant dernière étape de mon voyage, Las Terraza. Il n’y a qu’un bus par jour qui part a 14h50 et pas besoin de réserver le billet, il suffit de venir 1 hr avant le départ pour acheter ta place.
Vendredi 26 Février 2016
Pinar del Rio
« Pres de 180km d’autoroute relient La Havane à Pinar, capitale économique de la province, des terres les plus chouchoutées du pays, celle du précieux tabac. La ville s’est développée au XIXe, période à laquelle de nombreuses familles émigrées d’Espagne et des Canaries s’y établirent…. »
Rien de bien touristique, mise à part une fabricas de tabacos, un musée et une fabrique de « Garay », un alcool local à base de fruit et de rhum.
Je ne visiterais rien de tout cela, préférant me consacrer à la rue, au fouillage de l’insolite, du quotidien.
L’anecdote du jour :
Quand je passe devant les Bomberos (pompier) je shoot une première fois ce qui m’intéresse, puis je change d’angle pour voir autre chose et c’est la qu’un gardien me fait signe « no photo, no photo »
Je lui indique ne vouloir prendre en photo que l’écusson ….. rien d’autre ! je lui rigole au nez….
Finalement, il demandera à un autre gars en uniforme et armé, qui acquiescera une autorisation.
Cuba n’est pas une exception en ce domaine « no photo no photo » des institutions d’Etat, cela m’est déjà arrivé dans d’autre pays.
A la gare des tchoutchou, même topo, je n’ai pas pu passer sur les quais et la photo a été prise depuis la salle d’attente, vide, ou j’ai pu gruger la gardienne…
Une partie de dominos ?
Chez nous en Provence, la belote ou la contrée sont des jeux de carte pratiqués depuis l’enfance (pas pour zeb). A Cuba, le jeu favori est le dominos et les gens, jeune ou moins jeune, se retrouvent en fin de journée pour s’y adonner.
Une petite glace Italienne pour me récompenser de cette longue balade journalière,environ 6 kms. (Calcul fait sur la base de la carte fourni dans le guide).
Voili voilou, rien de plus, rien de moins, ainsi ce termine cet avant dernier carnet de route à Cuba.
A suivre for the last one.
tchusss
Eric V.
hééééé béééééé, ça y est, t’as enfin plongé ! J’attendais avec impatience tes impressions d’un ptit plouf sous-marin à Cuba
christophepoli
ton com vient a point, j’avais oublié de mentionner le nom du site….mise a jour faite, gracias
Toto
Le top ma Salette
Besoin 😉
Roy
Des couturières qui ont des salaires plus élevés que les toubibs, étonnant. Mais de fil en aiguilles, tu nous fais partager un beau voyage. Merci, Christophe. A +. Roy.
jack
Merci pour ce compte-rendu d’une autre façon de voyager, la seule qui fait vraiment rêver.