Mi-a-o !
La suite :
Jeudi 06 Octobre 2016
Puli
« Centre géographique de Taiwan, Puli marque la fin de la route centrale. Les Taiwanais disent de la ville qu’elle mérite d’être connue à plusieurs titre et avancent la théorie des 4 W (Women, Water, Weather et Wine). Ainsi, Puli serait la ville ou l’on trouverait les plus jolies femmes, de l’eau claire et pure dans les sources chaudes de Lushan, du très bon vin et un temps des plus agréables. »
Avant de commencer mes explorations dans ce lieu, je file juste en face de l’hotel voir la laverie, i have to m’occuper de mes fringuas de satanas qui emboucane….
Machine dernier cri avec lessive incorporé, seche linge juste a coté, ouvert 24/24 . Une demi heure plus tard, je m’en sors pour 70 dollars Taiwanais soit 2 euro.
Non loin de la, encore un petit clin d’oeil de mon pays, ma Provence.
Un lieu que j’ai tout de suite reconnu ; l’abbaye de Senanque qui se trouve à proximité du village pittoresque de Gordes dans le Luberon.
Aujourd’hui, l’objet de ma ballade sera d’aller rouler en direction du lac « Sun Moon Lake » qui se trouve a une quinzaine de kilomètre.
« …un lieu enchanteur au point d’être aujourd’hui le plus convoité par les jeunes mariés à l’occasion de leur lune de miel ! Et le succès ne date pas d’hier puisque avant que les touristes ne s’approprient l’endroit, l’ancien président Tchang Kai Chek en avait fait son lieu de repos favori. »
Je compte y faire le tour et fouiner de ci de la en y passant quelques heures.
Ici, c’est un batiment qui abrite l’office de tourisme du lac ou kekchose comme ça. Je m’y suis arrêté car de ce que j’ai pu voir depuis le bord de la route, l’architecture de l’édifice est de type contemporain minimaliste, ce qui n’est pas fait pour me déplaire.
Plus loin…
Il faut passer par la campagne pour rejoindre une autre route qui dessert l’autre rive.
Mélange des genres oblige, après l’art moderne, l’autre coté du lac offre un autre point de vue architecturale, la pagode « CI-En » qui fut construite en 1971 par le président Tchang Kaï-chek en mémoire de sa mère.
Encore un qui ne devait pas se prendre pour « Banane » une fois a la tête du pouvoir.
Haute de 46 mètres, la visite promet une belle perspective…..qui se mérite. Ce sera le challenge de « Maguy ».
Pour y accéder, depuis le parkinge, il faut crapahuter environ 150 marches plus le reste qui serpentent sur le flanc de la colline jusqu’au sommet ou a été édifié le monument.
J’en ai bavé mais ce fut l’occasion de faire un peu de cardio. Je n’ai plus fait de sport depuis mon léger séjour a Chiang Mai en Septembre dernier.
Arrivé en haut, il faut encore monter 150 marches au bas mots dans un escalier en colimaçon.
Aprés l’effort, la récompense….bravo Mag ! Tu tiens encore la route….
La redescente n’en sera pas plus EASY, j’accuse le coup en mettant ça sur le compte de la crève que j’ai chopé la veille.
Sur le parkinge, je me délaisserais du t-shirt complètement trempé qui colle a la peau en le remplaçant par ma veste chaude. Aaaaaaaaaaaaaaaaaatchoum !
Apres, je m’en va rejoindre l’autre village du lac, celui des « aborigènes » qui possède son lot de boutiques a souvenirs pour le moins strange.
Le final de ma boucle en passant devant un énorme temple et ses hotels à proximité.
En rentrant sur Puli….oulala, alors celle la !
Depuis le début de mon séjour sur l’ile, j’ai pu apercevoir régulièrement ce genre de biquoque bien en vue au bord de la route ou on voit clairement qu’il y a une nana en train de trafiquoter je ne sais quoi sur un comptoir.
La nuit, c’est encore plus visible vu que les néons attirent l’œil du zèbre comme celui des papillons et souvent, j’ai pu constater que certaine gonz se sapaient « légèrement » comme celle-ci.
Mais qu’est-ce qu’elles foutent ?
Je décide d’en avoir le cœur net en shootant l’instant pour illustrer ce paragraphe et m’arrête a son niveau pour lui poser la question ?
Le « Betelnut » (noix de betel) shop.
« On les surnomme les chewings-gums chinois, puisque ces noisettes, plus populaires que l’alcool, se machent jusqu’à obtention d’un liquide orangée virant au rouge sang, qui doit être recraché ensuite…Ces noix de palmier entourées de feuilles de Betel stimulent le système nerveux et tiennent éveillés les chauffeurs durant les longs trajets…..les recrutement des vendeuses, qui relèvent uniquement d’un choix marketing selon les patrons, n’a pas de rapport avec l’industrie du sexe….on reconnait les amateurs de Betel a leurs dents noires et souvent endommagées… »
Elle m’ouvre sa porte et me répond qu’elle ne parle pas anglais avec cette bouche d’apparence rougeatre rebutante. Beurk !
Pour ce qui est de la tenue vestimentaire, j’ai fini par me dire que c’était surtout pour aguicher les client voyeur.
Heureusement qu’a l’hotel, le sourire ravageur de la réceptionniste me laisse une bien plus belle image de la femme Taiwanaise.
Vendredi 07 Octobre
Il a plu toute la matinée, j’en ai profité pour écrire mon carnet de route et me reposer au chaud, atchoum, rien ne se perd.
Malgré cette humidité qui ne cesse et le nez qui coule, je sors pour aller déjeuner…
… et une fois rassasier, j’enfilerais mon ponchon de la mort qui tue la pluie pour aller visiter le monastère Chun Tai Chan »
« Il est l’un des lieux les plus surprenants de Taiwan. on s’interroge sur la nature de cette grande construction dont on octroierait la paternité des le premier coup d’oeil a Stark……le hall est grand comme la nef centrale d’une cathédrale. Puis la première impression passée, on se sent happer par l’incroyable spiritualité du lieu, les moines dans leur habit pratiquent activement trois doctrines, sagesse, charité et Samadhi. »
Le site se trouve à moins de 10 kilometres de la ville, d’ailleurs, depuis une des rues de la ville, on peut l’apercevoir tellement il en impose.
Passé l’entrée du domaine, il y a deux édifices imposant, d’abord celui-ci :
Je ne sais pas ce qu’il représentait et a vrai dire, je n’y suis pas rentré car le moine qui m’accueil m’informera qu’il n’est pas possible de prendre des photos à l’intérieur. J’ai pu toutefois distinguer depuis la porte d’entrée une grande statut de bouddha, un musée peu être ?
Plus loin, tu rejoins le monastère qui, comme décrit plus haut, en bouche un coin ! Whao ! Et la, il est possible de shooter…
En sortant de ma visite, la pluie s’est arrêté !
Comme quoi, mon obstination, malgré le temps, aura eu raison. Un signe de « l’éveillé » ?
Et puisque je suis la en touriste insatiable, lors du trajet pour aller au monastère j’avais pu distinguer de l’autre coté, tout au loing, sur le flanc d’une colline, sa statue et son temple. Le site, lui, ne figure pas dans mon petit guide.
Alors bien sur, il fuk-J-ail.
Un fois en haut, sur l’esplanade, l’horizon projete sur la rétine une fois encore l’immanquable monastère.
Un magnifique endroit empli de spiritualité mais au contraire de celui d’en face, j’étais totalement seul dans un calme total jusqu’a mon départ ou je n’ai croisé qu’une « Bonze ».
De retour at home en fin d’après midi ……la flotte reviendu pour la soirée…..comme quoi 😛
Samedi 08 Octobre.
Jour de déménagement pour l’avant dernière étape.
Direction la région d’Alishan en passant par le parc nationale d’Yu-Shan.
Un parcours qui devrait me faire passer par des routes haut perchés dans un très beau décors montagneux que j’espère.
Quand je quitte Puli, il est 8hr du mat et comme tu vas le voir, le temps n’est pas revenue au beau fixe.
Pire, lorsque j’aborde le lac qui se trouve sur mon trajet, une averse m’annoncera les hostilités pour cette journée. Je m’arrête au premier village, pour y prendre le kawak matinal et enfiler mon poncho.
Je repartirais sous une pluie légère et intermittente jusqu’au abord de la montagne serpentueuse, du parc national.
Ensuite, le reste du parcours se fera en mode congelé. Au plus haut du parcours à une altitude de 2500 metres, dans la jungle ou il y fait une température fraiche, l’humidité ambiante n’arrangera pas la sauce.
Boudiou, heureusement que l’autre jour, a 3275 metres d’alt, le blond était de la partie…
Il faudra que je m’arrête a plusieurs reprises jusqu’à destination finale, pour réchauffer un minimum les mains. Sur l’un de mes stops, je croyais avoir vu un chat, au loin, passant sous le tunnel ?
In fact, il s’agissait d’une bande de figue molle qui n’arrêterons pas de brailler mon intrusion.
Tu me vois, je t’ai vu….
En début d’aprème, je trouverais le village de Xiding ou se trouve l’auberge qui m’accueillera durant trois nuit.
Une auberge qui me fourni une chambre simple avec sdb partagée pour la modique somme de 14 euro/nuit (pour Taiwan), bouteille d’eau et breakfast inclus.
YUNHAI B & B
59-3 Xiding.
La patronne des lieux, qui parle un anglais sommaire, est aussi grossiste en thé. Le soir venu, étant donné les atouts de son auberge qui favorisent les échanges entre ses guests, je me retrouverais autour d’une table de dégustation de thé local avec un malaisien anglophone, une palanquée d’ado chinoise et le driver de l’auberge. Le Malaisien servant d’interprète à tout ce jolie monde.
Bon, sinon, le thé….pas vraiment ma tasse quand il est frais. Je préfère le made in France, celui qui a toute mon admiration, le 1336. Mise à part l’éthique, je vous le conseil.
Dimanche 09 Octobre.
Les sommets féériques d’Alishan
« Alishan (« Montagne d’Ali ») est réputée pour ses levers de soleil féériques sur la célèbre mer de nuages qui enveloppe le Yushan (« Montagne de Jade »). Des sommets bleus semblent émerger de ce dégradé de gris qui transforme le soleil levant en un jeu de couleurs d’argenté, de rose, puis de rouge, tandis que les hauteurs apparaissent, parées de vert émeraude. »
Pour le coté féériques, je passerais mon tour au vu de la météo persistante qui ne s’annonce pas favorable durant ce séjour.
Lorsque je descend pour prendre le kawak, je ne traine pas car pour le moment, il ne pleut pas….. j’ai envi de voir, au moins, les montagnes que je n’ai pas vu hier pour cause de brume épaisse.
Gaz !
L’altitude du secteur est propice à la culture du thé, j’irais explorer les hauteurs du village de Zhishou (kekchosecommeça) qui se trouve a 9kms de chez moi. Ce village est aussi au centre d’un carrefour entre plusieurs directions.
Ici aussi, comme sur le lac « Sun Moon » de Puli, l’office du tourisme a développé et emménagé un parcours exclusivement réservé aux piétons randonneur ou cyclistes.
Si tu es randonneurs a souhait, c’est encore une région qui devrait te plaire. Les parcours ont l’air sympathiques de ce que j’en ai vu a travers les champs de thé disséminés sur les collines vallonnés.
Et en terme de logement, ce n’est pas ce qu’il manque puisque beaucoup ont vu venir ce buisness florissant en créant des « homestay » dernier cris. J’imagine que le tarif de la nuitée pratiqué n’est pas comparable a celui de mon auberge.
Voici donc un homestay façon art déco, auquel je n’ai pas pu m’empecher de shooter.
Fin de matinée, je quitte le secteur, je me tire en direction de Fanlu par une route a chevre qui ne laisse rien envisager de bon pour le futur.
Ils ont beau rafistoller ce qui peu l’être mais a terme, la nature reprendra ses droits. Cette portion de route n’y manquera pas, elle glissera le long de la falaise tôt ou tard.
Je ferais une 20aine de bornes jusqu’à ce que la flotte rentre en scène et me fasse rebrousser chemin car finalement, je ne sais pas trop ou je vais et ça me gonfle !
A l’arrach, ce voyage, a l’arrach ! ce matin-la, j’avais oublié ma carte….
Milieu d’aprem, le temps se calme. J’en profite pour aller visiter en prenant une route qui se trouve juste a coté de chez moi.
En fait, mon village est aussi blindé de champs de thé.
Pour y accéder, comme ce matin, les cotes sont velus a souhait et le scoote m’épate toujours autant sur son comportement. En revanche, je sens tout de même que l’altitude ne lui convient pas, le moteur cale a chaque fois que je m’arrête. Pourvu que ce ne soit que l’altitude ?
Mais ce qui m’inquiète le plus est son freinage. En gros, il n’y en a que très peu et lorsque j’entreprends les redescente, ca craint du boudin ! Je suis obligé d’y aller au ralenti sinon, impossible de m’arrêter….
Vraiment, jte jure !
Un peu de couleur pour égayer ce carnet couleur unilatéral.
Té vé, la tu peux voir les pentes ou je suis allé juste au dessus de mon village mais aussi ce qui l’entoure.
En allant vers un autre point de vue tout en hauteur, j’aperçois au loin, mais vraiment très loin, lors d’un léger éclaircissement, une forme ?
On dirait une tour ? j’agrandi le shoot au maximum sur le point qui m’intéresse , il me semble reconnaitre la forme….
J’aurais la confirmation de mon hote qu’il s’agit de l’hotel, la plus grande tour de Kaohsuing, la ville qui m’a vu débarqué le 17 Septembre dernier et qui m’attend pour samedi 15 prochaing.
Pour finir le récit de cette journée,
Depuis deux jours, ça pétarade copieux chez le voisin, devant la route !
Ils font péter des pétards régulièrement mais ce soir, c’est l’apothéose, feux d’artifice a gogo…
Je demande a mon hote ?
Deux raisons, c’est soit pour les festivités religieuse soit pour un mariage, ce qui etait le cas la veille.
Lundi 10 Octobre
Rebelotte….
8hr, il ne fait pas terrible mais pour le moment le temps est sec, j’en profite pour partir en balade.
Today, je compte aller explorer les alentours d’un lac qui se trouve à une trentaine de bornes selon gogole map.
Bon ça, c’était le plan du matin sauf qu’après m’être arrêté voir ce qu’il y avait dans une serre…..Des orchidées !
La production se fait aisément dans le coin au vu du nombre de serres, climat idéal ?
Donc, après cette visite impromptue conclue avec la grace de l’horticultrice, je me prends un début de chavanne et ce n’est pas en matant l’horizon, en direction du lac que cela va s’arranger. Pour autant, quand je scrute dans le sens opposé, le temps est plutôt clair du coté des montagnes d’Alishan.
Gaz…
Mais a vrai dire, la pluie qui ne cesse commence a me gonfler pendant le trajet, aussi, je m’arrête un moment sous un tunnel pour calmer un peu mes envies de demi-tour.
Le paradoxe du zeb, c’est sa partie « tete molle » qui veut rentrer se mettre au sec mais quant à l’autre « jobastre », elle, elle a toujours soif de découverte quelques soit le deal…
Je continue avec l’espoir d’une accalmie, l’horizon est plutôt degagé, ca va bien finir par s’arreter ?
Pari gagné puisque avant d’arriver sur Alishan, je pense à 2200 metres d’alt et une trentaine de kilo depuis mon village, le temps reviendra au sec.
Je passerais un petit moment dans le secteur le temps de schooter le sujet accrocheur du moment, le tchoutchou des montagnes.
Et puis retour sous une altitude plus clémente, tout en me disant que peu être le temps serait dégagé autour du lac ?
Pi être mais il faudra d’abord attendre que l’horizon se dégage, non parce que la ?
La montagne ça vous gagne qui disait l’aut’ ! Aussi changeante que la belle bleue.
En arrivant au village, j’en profite pour faire la troisième vidange du trip.
Finalement, le temps changera et me permettra d’aller rouler une quarantaine de bornes supplémentaire, traversant des villages typiquement autochtones aborigène jusqu’à ce que je me retrouve devant une route défoncé dont je n’avais pas envie d’emprunter.
Back home, j’ai assez roulé pour cette journée qui totalisera 150 bornes, quand même !
Le soir venu, situation inédite du voyage.
A l’auberge, je suis le seul client du jour et par conséquent seul dans son salon ou la vie était plus bruyante lors des deux dernières soirées.
En fait, ce n’est plus la saison et les clients ne rappliquent dans le secteur que le week end pour essayer de voir le fameux levé de soleil du matin sur la couche de nuage ou encore, le couché comme j’ai failli l’avoir hier.
Donc ce soir, je me retrouve complètement seul avec mon hote et l’homme a tout faire.
Vis ma vie de backpaker…sobre.
Mardi 11 Octobre.
Je gaz de bon matin pour ma dernière étape, direction Tainan, un petit parcours de 110 kilo.
Un dernier shoot depuis les sommets avant de rejoindre la vallée 20 kilometres plus bas et d’y faire un autre dernier aurevoir ou je quitterais définitivement les routes viroleuse que j’ai parcouru durant une semaine.
A partir de la, finit les sensations que tout bon motard aime, retour aux longues lignes droite ennuyeuse.
Té, la, c’est juste pour illustrer que tout n’est pas mauvais dans leur code de la route….lol
Comme tu peux voir, il y a troies voies pour les bagnoles, une voie pour les deux roues et une pour les cyclistes !
Je serais a mon hotel réservé sur Agoda, à l’heure du déjeuné.
Tai ZI Hotel
349 you’Hai street
encore une bonne affaire, 18euro la nuit, frigo, telosh, sdb,wifi air con…
Un peu plus tard je pars visiter les environs pour commencer a me familiariser avec le nom des rues et avenues.
Jusqu’a ce que je tombe sur le temple de « Confucius »
« c’est le plus vieux temple taiwanais dédié à Confucius puisqu’il a été construit en 1665 par le fils de Koxinga. Il est par la même occasion la première ecole publique de Taiwan, car encore maintenant les temples dédiés au sage ont une fonction pédagogique…. »
J’irais aussi fouiner en soirée…
Bon, j’arrête la….mes carnets de route sont de plus en plus a rallonge, moi qui ne savais pas quoi raconter au début….piou ! Et encore, j’abrège…
La fin du road book Taiwanais approche a grand pas.
Merci de me lire si tu es encore la 🙂
A suivre et d’ici la, portes toi bieng….
Sissi
Merci pour ttes ses magnifiques photos
Toto
De magnifiques photos La Salette quelle chance tu as.
Régale-toi bien et fais gaffe
Bizouille ; )
Roy
Bon !!! Après ça, tu rentres. Bises. Roy.
Michel BOUZAGLOU
Et d’aventures en aventures ,,,,,,,ça laisse rêveur,,
Merci
Bises
fabio
Encore un carnet qui nous emmène loin de notre quotidien bruyant et qui étouffe nos bronchiasses.
Merci et take care bises
Ps: Pour noel je t’achèterais des mapa fourrées pour tes petites mimines
morano gisele
ouiiii toujours la merci pour tes magnifiques photos bisous