A travers les rizieres Balinaise…

Mercredi 26 Novembre 2014.

4H30 du mat, airport de Kuala Lumpur, Malaisie….Paf ! 2h30 de décalage en plus dans la tronche.

Je suis ici pour 6hrs de transit avant de prendre le prochain vol pour Denpasar, Bali.

A cette heure ci, pas beaucoup de mouvement dans les halles de l’airport, d’autant qu’il est dédié à la compagnie low cost AIR ASIA, number one en asie.

J’avais lu un article l’an passé que « puppet flamby » avait décerné la légion d’honneur au president de la compagnie, parcqu’il avait commandé pas moins de  300 Airbus A320…..

J’ai la dalle, voler avec la cie Air ASIA est d’un bon rapport qualité prix mais c’est une low cost autrement dit, les repas ne sont pas fournis gratuitement aussi, j’ai préféré attendre d’etre a l’airport pour trouver kekchose de meilleur que ce qu’ils proposent….

……comme par exemple le roi des Burger ! (bon, les gouts et les couleurs heing ! )

Et hop, un bon petit « Whooper menu » siouplé ! J’aime bien la malbouffe de temps en temps et du moment que ce n’est pas celle du clown concurrent.

4,50 euro le menu…..au lieu  de 10e sur la planète Marseille.

13hr30, je debarque sur airport Denpasar/Bali/Indonesie.

On dirait que j’arrive directement de France, je suis déchiré. Je mettrais ça sur le compte du léger décalage horaire et les heures de transport/transit.

Oh puterelle ! La claque supplémentaire en sortant de l’airport. J’ai quitté Katmandou avec 18 degrés, ici, c’est le double.

« Taxi, go to this adress (Sanur district), pliz »

Je rejoins mon poto Seb en milieu d’aprem, qui m’a reservé une chambre dans la guesthouse ou il creche (100000 roupies (6,50e), ventilo, wifi).

Les propriétaires des lieux élèvent des ptits JENECONNAISPASLAMARQUE, qui se sont prêtés volontier à une petite séance.

 
  
De Jeudi 27 November au Mardi 02 Décembre 2014
Je suis en Indonesie pour 8 semaines, aussi, j’ai du commencer a organiser mon trip sur les trois iles que je compte traverser en deux roues. Pour le moment, j’ai programmé 2 semaines sur Bali, 3 sur Java et 3 sur Sumatra. 
Bali est une petite ile, les distances entre chaque étapes ne sont pas grande mais quand j’ai commencé à calculer les distances sur Java ou Sumatra,« houla, pas pareil…. »
Pour la comparaison, je te mets les kilo pour traverser chaque îles
– Bali, d’Est en Ouest, environ 200 kms.
– Java, d’Est en Ouest, environ 1200 kilometres
– Sumatra, de la pointe Est jusqu’à ma destination finale qui est Médan, 2000 kms !Non, ca ne va pas être de tout repos, c’est clur, mais bon, j’ai l’abitrude….Ceci dit, ce ne sont que des valeurs indicative selon gogole map qui a calculé au plus court…..

Comme d’hab, je ne suis pas le roi du burger mais par contre en terme d’improvisation, je sais faire et donc, l’ébauche du programme que j’envisage de faire va surement évoluer au fur et à mesure que je sortirais des infos de mon guide du routard, de la météo et le plus important, la condition physique.A mes nouveaux lecteur, il y a quasiment 5 ans mon premier trip au long cour en solo débutait par une quinzaine sur Bali et une quinzaine sur Java, je connais donc une petite partie de ces îles, sauf que depuis ma vision photographique ainsi que du voyage ont complètement changé du tout au tout, j’ai pris pas mal de bouteille.

Mais pour réaliser ce trip va falloir me trouver une bécane que je compte acheter.

Acheter ? mais comment ? peurquoi ? etc etc, je t’explique :

Depuis que j’organise mes voyages « on 2 wheelers », j’ai toujours loué des mulets que je devais rendre au point de départ à la fin de mes road book. Pour un petit pays comme le Népal ce n’est pas un soucis puisque tu peux faire une boucle et voir pas mal de chose mais quand il s’agit du contraire comme l’Inde ou encore le Vietnam, ça à limité énormément mes ambitions…..

L’Indo est un grand pays, je ne me vois pas faire 5000kms aller/retour  (c’est ce que va faire mon trip au minimum) en 49 jours ou alors, il aurait fallu supprimer la visite de Sumatra.

De plus, en étant le propriétaire, plus de soucis a ce faire pour l’état de la brêle. Par exemple, s’il y a un pète sur la carrosserie, il n y’aura pas d’embrouilles à la mort moi le noeud avec le loueur (vécu).Il me faut donc trouver une bonne occaz que je budgeterais à hauteur de 5E/j (c’est ce que demande en général les renterbikes)
Nous l’a trouverons après 4 jours de recherche.

Une honda Karisma, de même type que les mobs Thailandaise (honda wave) qui ne sont pas des scoot. Il y a 4 vitesses a passer au pied, comme sur une moto, sauf que l’embrayage est semi-automatique, ce qui permet de libérer la main gauche et dans mon cas, d’aider maguy a enclencher….je te laisse imaginer 😉

J’espère maintenant qu’elle ne me causera pas trop de prob et qu’elle tiendra le coup jusqu’ à la fin de mon périple.

Pour ce qui est des papiers de la bécane, du changement de proprio, de l’assurance, c’est simple
 
– les papiers restent au nom du premier proprio
– l’assurance ? kézaco ?
 
Il faut juste que la taxe annuelle sur les papiers et celle pour la plaque d’immat soit en regle…. autrement dit, il s’emmerde pas trop avec la paperasse, comme chez nous autre.
 
Je m’étais renseigné en Inde, même principe ainsi qu’au Vietnam.
Par contre, en Thailande, il faut faire le changement de proprio et payer une assurance.
Voila dans les grandes eaux, maintenant, la suite.
 
Après la malbouffe, place à la boustifaille locale, à la cantine…. je commence mes explos culinaire.

                                                      

Seb, me trouvera également de quoi remplacer mon vieux laptop et sur le coup, j’ai eu bien fait d’etre patient lorsque j’étais au Népal car j’ai gagné 90 biftons, une garantie internationale et un OS original.

Entre temps, j’irais visiter un peu les alentours du sud de Bali, Nusa Dua et le temple de Pura Luhur Uluwatu sur les bords d’une falaise.

  

  

         
                                  

 Pour y aller, je me ferais braquer mes premiers roupies par la police.

Ces derniers jour, j’ai eu droit à trois contrôles routier depuis mon arrivé sur l’île mais ils n’ont pas réussi a me ponctionner le portefeuille because que j’ai mon permis deux roues, mais la, ils n’ont pas manqué l’occaz.

      

En meme temps, c’est de ma faute, je n’ai pas vu un panneau qui interdisait les deux roues sur une branche de l’autoroute mais lorsqu’ils m’ont empégué, j’ai bien compris que c’etait pour ce mettre dans la poche…culé.

Bizarre comme système, ils ont créé une autoroute pour les deux roues et une autre en parallèle pour les boites à roues, gaspillage quand tu nous tieng.Tu te souviens de ce que je racontais lors d’un carnet de route au Népal sur la maison poulaga ? Corruption et consorts….

Bin voila, on n’y est, Bali grosse usine à touristes et synonyme de grosse corruption à tous les étages

 
Si les premiers jour sur l’île furent ensoleillé, une fois n’est pas coutume, je viens ici à la mousson et elle débute maintenant. Mon vier !

Bon gré mal gré, nous irons faire une petite balade vers Ubud qui au passage n’est plus la petite ville pleine de charme que j’ai connu, bondé de boutique à souvenirs.

Puis direction le temple de ? (me rappel plus) mais tres beau, dommage pour la lumière car pour nous y rendre, on s’est fait rincé et donc, pas de soleil.

Les gars ont creusé la pierre dans la roche et sculpté des temples hindous. Ce n’est pas le meme type d’architecture que j’ai visité en Inde mais la technique y ressemble fortement.

En même temps, l’hindouisme pratiqué sur Bali est différent de celui de l’Inde. Tieng, un peu de lecture

                                                                    

                                     

Mercredi 03 Décembre 2014

Sanur, le quartier ou je me trouve est un petit coin bien tranquille, rien a voir avec Kuta, Légian ou Nusa Dua, non loin de la mais qui attirent une autre forme de tourisme, genre Phukhet.

C’est vraiment pas mal, seb, d’autant qu’apres tout ce que tu m’as fais découvrir, j’en ai conclu que la vie y est encore moins chéros que sur Chiang Mai, avec la mer en plus. 

Par contre pour les plongés, ça cartonne velu, je m’abstiendrais.

 

Ce matin, je voulais commencer mon road tour de bonne heure mais j’ai du repousser le départ et pour cause….

la mobylette à un prob de démarreur électrique, j’en ai besoin car je ne veux pas me faire kaguer a utiliser le kick pour lancer le moulin.

Ca commence bieng….pffff

Direction, un réparateur qui passera deux heures pour me changer une petite pièce défectueuse pour un prix total, pièce et main d’oeuvre, de 50 roupies (3euro). Quand je pense qu’en europe, ils auraient changé tout bonnement le démarreur complet.

Je quitterais définitivement Sanur vers 12hr30.

Merci pour tout Seb & Let, vous m’avez énormément facilité la tache surtout pour la bécane qui était le point le plus important quant à la réalisation de mes projets, d’autant que les indos ne parlent pas la langue rosbeefienne et en étant seul, la traduction aurait été vraiment compliqué. Comme on dit, à charge de revanche et ça sera avec grand plaisir.

Je vous souhaite tout le meilleur à venir en espérant que nos routes se croiseront à nouveau, take care my friends et portez vous bieng.

J’en profite aussi pour faire un petit coup de pub pour la guesthouse ou j’étais. Les proprios sont vraiment tres sympa, un vrai homestay digne de cette appellation avec tous ses avantages (je n’ai plus le nom en tete mais je te file l’adresse : jalan danau tondanau IV n°25, sanur)

Première modification du road tour.

J’avais l’intention de remonter dans les montagnes, au nord-Est, puis de continuer vers la mer, reprendre une autre partie des montagnes et ensuite filer sur l’ouest pour changer d’îles mais mais mais la météo ne m’étant pas favorable, je décide d’écourter mon séjour sur Bali passant de 14 à 11J en ne faisant qu’une partie des montagnes.

Je filerais sur Java, lundi prochain (08/12).

Ce jour, je trace en direction du plein ch’nord en m’arrêtant à mis chemin  au bord du lac Danau Bratan, à Candikuning (2000m d’altitude).

Un trajet de 55kms avec une bonne partie sous la flotte.

 

Sur place, je me trouve une adresse vite fait, histoire de me mettre au sec pour 200000 roupies (petit dej compris, 13euro) la nuit.

Quand la pluie cessera, petite visite des lieux et repérage du trajet routier que j’envisage d’emprunter demani pour ma balade.

 

Je découvre à l’occasion que l’endroit est réputé pour sa culture de fraise, mais aussi un volcan, je présume que c’est le gunung agung, que je ne voyais pas en arrivant puisque sous les nuages.

                                            
Tu noteras que j’ai pris de l’altitude depuis Sanur, ici, fini les grosses chaleur de la plage.
      
 Jeudi 04 Décembre 2014

Gros programme ce jour, en espérant que la pluie me laisse tranquille au moins une partie de la journée.

Je suis réveillé de bonne heure et en jetant un oeil à travers la fenêtre, bonne nouvelle, le temps m’a l’air clair.

Je profite de cette ouverture pour commander le tit déj et puis gaz pour commencer rapidement mon programme qui débute par la visite du temple Pura Ulun Danu Bratan.

 
« Sanctuaire Hindo-Bouddhique très important, ce temple fut fondé au XVIIs. Dédié à Dewi Danu, la déesse des eaux, il est bati sur des ilots et entièrement entouré par le lac, pélerinages et cérémonies visent a assurer l’irrigation de toutes les cultures de l’ile. »

« les méru (sanctuaires a plusieurs toits) hindous classiques, à toit de chaume, se reflètent dans l’eau et se découpent sur les montagnes souvent cachées par les nuages, on traverse des jardins soignés en passant devant un imposant stupa bouddhique. »

 
 Quand j’ai vu ce texte, la semaine dernière, ma première reflexion fut tout simplement « hum, ya matière au shoot donc »

J’y vais confiant, en pensant surtout qu’il y aura tres peu de touriste, vu l’heure (8hr)

 

 

 

 Et bé, le temple est beau, je découvre de nouvelle forme mais je suis déçu parce que d’une part nous n’avons pas accès à tout le site et les meilleures tofs auraient été certainement dans les parties interdite, forcement, jeux de couleurs énormes d’après ce que j’ai entre aperçu et d’autre part les jeux de reflet avec le lac n’étaient pas au rendez vous. J’avais maté quelques photos sur gogole qui ont été prises avant qu’ils installent une plateforme en bambou pour les cérémonies, ce qui gache complètement la perspective. Dommage. Pour couronner le tout, les quelques rayons de soleil qui sortent de temps a autre sont en pleine poire, bonjour les contres jour, aussi, quand je quitte les lieux  je  vais voir le gars de l’accueil en lui demandant si mon ticket d’entrée est valable pour la journée ?

 « yes »

car j’ai espoir d’avoir du sun en fin d’aprem qui tomberais a l’inverse du matin et qui pourrait me donner une autre vision….

Le premier round effectué, on the road again pour les deux et troisième en direction des rizieres de Jatiluwih (traduction « vraiment merveilleux »)

 « vous decouvrirais un panorama sublime de rizières en terasses centenaires offrant une extraordinaire palette de verts. Les rizières devraient bientôt figurer au patrimoine mondial de l’Unesco »

 

 

Après une quinzaine de kilo qui me font descendre tout shuzz en passant par des petites routes sinueuses tout en demandant régulièrement la bonne direction (j’ai le souvenir d’une balade sur Ubud en 2010 qui fut compliqué pour retrouver le chemin du retour) pour ne pas me paumer, j’arrive sur place avec le comité d’accueil qui en veut à mon porte monnaies pour acceder au site.

 

Ah oui, ke meme ! Effectivement, beau panorama

 

Je reviendrais plus tard pour mieux explorer le site mais pour l’heure je veux voir le temple du Pura Luhu Batukau qui devrait se trouver à une 10zaines de kilo d’ici.

« Souvent négligé par les touristes (un bienfait comparé à ce qu’est devenu le Gunung Agung) le Gunung Batukau est la deuxième plus haute montagne de Bali (2276m). Vous pouvez visiter l’un des temples les plus révérés et méconnus de l’ile. Situé sur les flancs de la montagne, il servait de temple d’Etat à l’époque ou Tabanan était un royaume indépendant. Il possède un méru à septs toits dédié a Maha Dewa, l’esprit gardien de la montagne. De tous les temples que l’on peut visiter à Bali, c’est certainement le plus chargé de spiritualité. Ici, ni rabatteurs ni foule de touristes. »

Ouep, ya dégun ! royale ! comme sur le temple du lac.

Passé le vidage de portefeuille et l’enfilage d’un sarong traditionnelle pour cacher les jambes, je debarque sous l’accueil de femmes adulé par mon corps ruisselant 

sous cette chaleur moite……euh, je m’égare, elles sont en train de confectionner des bidules pour leur rituelles de cérémonies.

 

                                                                      
                                    
 
 
                                                   
 
                                               

Très beau, une atmosphere franchement différente d’avec celui du lac, on y passerais des heures….le fait d’etre entouré de jungle, au calme doit surement y contribuer mais la, FUCK J. ail…

Je ne verrais pas les flancs de la montagne because dans les nuages et ils deviennent pas tres engageant les bougres, gaz, retour à Jatiluwih et la découverte des rizieres en profondeur.

 

 

 

Le site à été « édifié » sur une portion de vallée qui forme un demi cercle et qui s’étire en profondeur, si tu vois ce que j’veux dire.

 Il est possible de partir en randonnée et d’en faire le tour. Pour ma part, je ferais un versant avec la mob jusqu’à ce que je puir. Environ deux kilometres de descente sur un chemin semi-aménagé qu’il faudra remonter.

 

 

Viendra l’heure du déjeuner et la spécialité locale.

J’ai tendance à dire qu’il n’y a pas de hasard, ce bonhomme était la pour moi. Il attendait simplement que le restau lui serve sa commande à emporter et moi de le voir pour lui proposer le shoot, sacré gueule ! En costume traditionnel.

Le menu est un mélange de différente sorte de préparation à base de poarcccccc, famouz !

 Rassasié, je me pars faire l’autre versant pour découvrir un champ de piments qui dénote totalement.

 

 

 

La pluie, je me prendrais en revenant sur mes pas.

Une aubaine qu’il y est une gargote en milieu de parcours ou je m’abriterais. Pour la remercier, je lui achèterais une bouteille d’eau en attendant que l’averse cesse et quand viendra l’heure de l’addition au moment de partir, le cul,  elle me prendra (400 % du prix normal)

Allez, on va pas faire un scandale pour une bouteille d’eau, je suis parti mort de rire, un peu jaune quand même.

 Ce n’est pas la première fois que ca arrive, on me l’avait dit et je le confirme, quand le blanc débarque il faut à tout prix le ponctionner.

Je me souviens à Sanur, juste avant de partir j’ai eu besoin d’acheter des sando pour attacher mon sac sur la mob car j’ai paumé ceusse qui m’ont servi au népal…..pffff, La fille du shop m’annonce un fixe, on arrive à la caisse et c’est apparement la tenancière qui tient les commandes, moi je lache les biftons adequat quand la madame tente de majorer l’addition. Sur le coup je l’ai pris à la rigolade, cool, mais Seb qui les pratique depuis quelques mois me précise qu’elle ne rigolait pas, cette vieille rascasse, mais elle c’est quand même assis bien profond sur sa majoration. Non mé ho !

A l’heure ou je t’écris ces lignes, depuis, je demande toujours le prix à l’avance….un peu ca va, mais quand c’est trop, c’est tropico.

C’est dommage car ce type de comportement nuit à l’ambiance et finalement pour quelques un c’est la majorité qui morflent, comme toujours.

 

 La pluie s’arrêtant, je reprends le chemin du retour tout en sachant que la remonté dans les hauteurs va être, hum….au vu du noir in the sky s’affirmant.

 

 

 

 J’arrive de l’autre coté de la vallée, chez moi, pour retrouver un peu de bleu dans le ciel et du brouillard sur une partie du lac.

  

Bien que ce midi, le repas etait copieux et que je n’ai pas spécialement faim, je suis curieux de savoir kezako ?

Le gars ne parlant pas anglais, ce sont deux jeunes etudiante se trouvant à proximité qui me feront la traduction.

 

Une soupe de pates accompagnée d’oeuf et poulet. Pas maufé, l’encas du gourmant.

Après cette pause,  le temps me permet de continuer mes explos, je chope un coin juste derrière la boustifaille.

 

Puis en direction de l’autre lac faisant partie d’un trio.

Doué le gars sculpteur, je trouve son oeuvre assez réaliste.

 

 

Et hop, encore un temple sur la rive au pied des champs de fraises

 

Quand on parle de fraise, y’en a même qui ont le look approprié

 

Adorable la ptite, elle a joué le jeux du photographe estrangé.

Je continue a fouiner sur ce lac en me rendant de l’autre coté et tout au bout je tombe sur une séance de shooting pré-mariage comme savent si bien le faire les asiat du sud-Est.

 

Magnifique dans sa robe rouge…le loup n’était pas loin,  les bois étant aux alentours.

 

Pendant ce temp la, une bande de jeun’s impassible s’occupe à la pêche.

Quand je commence a rentrer at home le temps se gate et badaboum, il va flotter la bonne heure jusqu’à l’accalmie qui me permettra de retourner visiter le temple du matin, mais sans le soleil esperé.

Il y aura une démonstration de danse rituelle ? proche du temple « interdit »

 

 

  

Vendredi 05 Décember

Apres le ptit déj, je déménage sous le soleil pour Munduk, un village qui se trouve à une quinzaine de kilo


La route m’emmène un peu plus en hauteur sur l’arrête d’un ancien volcan qui domine tout son monde avec d’un coté la vue sur le lac et de l’autre l’apparition au loin de la mer, le versant nord de l’île.

 Ensuite, tu commences la descente a pic.

A Munduk, je me pose chez ONE homestay, une adresse que Seb m’avait filé s’avérant être la bonne affaire du coing.

Le patron m’annonce qu’il y a une cérémonie juste en bas, je n’ai pas demandé en quelle honneur, j’aurais du.

 

 

100000 roupies la room avec vue sur la vallée, le wifi ne fonctionnant que lorsque le restau du frangin ouvre, mais je t’explique plus loin comment avoir du wifi en continue…

Quand j’ai vu la mer tout à l’heure, mon sang n’a fait qu’un tour, vite que je dépose mon barda dans la room et hop, on the road again, fuck j’aille voir.

Sur la route, je croise un temple qui valait la pause shoot. Eux, ils ne se feront pas kaguer pour renover les toits de chaume.

 

 

25kms de descente pour arriver sur la ptite ville de Seririt.

Au premier abord, rien de spécial dans cette ville, je cherche la plage, des bateaux. Je découvre un nouveau service de taxi sur Bali.


En continuant ma fouine, je debarque sur un chemin ou je me vois du raisin ! 

En grande quantité siouplé.

 

Y a des vignes suspendus de partout, mélangé avec des cocotiers et proche de la mer, ça ne s’invente pas.

Ici, ce sont des villas/bungalows que j’ai trouvé en allant sur un autre chemin avec vu sur une riziere et plus loin la plage de sable noir avec deux transats.

 

 

Ce type de location luxe, tu en trouves de partout sur l’ile.

 

 

Puis retour sur Munduk, tout la haut, ou j’ai du m’arreter entre temps pour la pause déjeuner dans une gargote juste au moment ou le temps vire de bord pour rincer la mobylette.

Alors la, c’est un fruit que j’avais boustifailler au Vietnam, tu t’en souviens ?

 

 Je m’etais arrété au bord d’un champ pour shooter une plantation de ce type lorsque sont venus a ma rencontre deux fermieres qui m’ont proposé d’en gouter un et d’en emporter. Sauf que ceux que j’avais gouté étaient de couleur blanche.

(la, la couleur éclatante du fruit à fait tache au niveau des reins autrement dit j’ai pissé rouge deux jours et je te parle pas du reste……c’etait le moment poétique du carnet….euh ….)

Le temps que je dégustazioné le fruit, le temps vire de bord puissance IV, je sens que je vais me trouver un endroit ou le wifi est la et finir l’écriture de mon dernier carnet de route sur le Népal.

 

Une petite recherche sur les reseaux des alentours, hopeula, un hotel à 50 metres de ma guesthouse.

Il y a un restau en terrasse abrité, je demande au serveur s’ils ont du wifi (jte l’a fait a l’envers…)

« yes, we have »

OK, un ptit cocktail ananas/ginger siouplé ?

Pendant ce temps, le déluge a pris forme et perdurera pendant 2heures jusqu’a plus rien y voir au loing, incredibeul mousson !

 

 

Au final, je suis resté 4hr30 dans ce restau, le temps imparti de ma batterie.

Sinon, Munduk ?

Pour te resumer vite fait, c’est un beau petit village bien calme qui est parfait pour aller zoner dans les parages en randonnées in the jungle, dans les rizieres et avec pas mal de waterfall pour se rafraichir.

 Tout ce que maguy raffole à tel point que demain je me tire sur la cote….lol

Samedi 06 Décember 2014

Apres le deluge d’hier et de cette nuit, ce matin…le sun.

Sacré mousson va.

Je me prends le ptit déj compris dans le prix de la room, rien d’exceptionnel (quatres toasts de marmelade et un thé) mais quand meme et puis s’en va de retour sur la beach, à Pemuteran.

 

60 kilo plus tard, j’arrive dans cette station balnéaire toute proche du parc national qui comprends un grande zone maritime, ce qui prete bien sur a la protection de la faune et flore maritime. Les adeptes du snorkelling (palmes masque tuba) ou encore les plongeurs sont les bienvenues à en voir le nombre d’enseigne de club de plongée !

 Forcement, l’offre de logement est en rapport.

J’ai l’impression que l’endroit est un peu desert en ce moment, remarque, ce n’est pas la bonne saison.

J’amorce un premier hotel qui me propose 200000 la room, je négocie 150000, l’a pas voulu et ce même si son établissement est vide…. j’ai toujours du mal avec la logique asiatique.

Par hasard, quoi que, il n’y a pas de hasard, je tombe sur l’adresse que m’avait filé Seb et la, encore le bon tuyaux. Un homestay des plus confortable, je n’ai pas shooté la salle de bain mais la baignoire en valait le détour, wifi, ptit déj pour 150000.

 
L’anecdote du jour est que le proprio vient discuter et va savoir pourquoi, il me branche sur la nana qui m’a emmené chez lui qui est son épouse, sa deuxieme est dans la maison …
.. »je suis polygame » d’un air un peu fanfaron.

Je lui ai pas dis car je suis bien éduqué mais ca me fait une belle jambe de…..carbone, bien sur !
D’ailleurs quand il l’a vu, ca l’a un peu refroidi….mouarf !

La encore, je file rapidement voir squi cpasse dans l’coin et tres vite je tombe sur une cérémonie made in Bali.

Ah ouais, je sais pas si t’a lu le lien que je t’ai filé plus haut mais faut que tu saches que les balinais sont vraiment tres pieux, c’est ce qui m’avait marqué lors du précédent voyage.

  
Ici, je me pose sur le bord de la route pour pouvoir shooter mais plus ils avancent et plus ils me viennent dessus jusqu’a ce que je me rende compte être a proximité d’une sculpture typé temple que je n’avais absolument pas vu puisque petite et somme toute assez banale.
  

 
 
 
Ce que porte les femmes sur le teston son des offrandes pendant que les copines dansent sur le rythme des musiciens qui accompagnent le cortège.
 
  

Et hop, comme ils sont viendu; ils en sont reparti…. que je n’ai pas suivi, discretion oblige of corse, déja que j’ai du peut etre les agacer avec ma présence ? va savoir charle ?

Tant bien que mal, j’arrive enfin a trouver la plage et ce que je cherche, les pêcheurs mais rien de spécial. Je trouverais des mioches….

 
 A vrai dire, mise a part la plongée, le farniente autour de la piscine d’un hotel ou sur la plage, ma fois, keskya d’aut’ ?  sur Pemuteran.
Je file en dehors du pseudo village, on the road again sur 20 bornes, rien de rien. Je m’arrete boustifailler dans une gargotte on ne peut plus simple y compris sur le language qui se fait usuellement avec les mains.

 

 C’est marrant, les gens me parlent en indo comme si je comprendre kekchose, je fini toujours par m’eclater de rire et de repondre que je suis  « franchess », ça, au moins, ils comprennent ce mot.

Toujours à la recherche de l’insolite, je me retrouve sur une plage qui mélange pollution humaine tout les 50 centimètres (voir moins, effarant, effrayant) et ruminant un peu plus haut.

  
 

Avec toussa, une bonne glace pour rajouté un peu plus de déchet dans la poubelle et avoir une photo du serveur ambulant, 
un petit shoot de ceusse qui cherchent aussi du frais ou encore de la boustifaille gratos, un petit tour au temple et pi s’en va à la zonzon mettre à jour le blog.
  


Ouf, voila pour ce premier carnet de route en indo.

 J‘avais prévu de rester deux jours ici pour envisager de plonger, finalement je préfère garder les sousous pour la suite. (la dépense pour l’ordi n’était pas prévu)

 Demain (07/12/14), j’avance d’un jour mon départ pour Java.

La suite au prochaing épisode. En attendant, portes toi bieng et à tres vite, tchuss 🙂

 

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