Les privilèges de « Maguy »…

Souasday ! …….(J’ai enfin retenu comment dire bonjour en Khmer)

Mercredi 07 Décembre 2016

Today, 6ème étapes de mon road trip au Cambodge : Battambang.

Un dernier trajet de 200 kilo que je partagerais avec mes acolytes temporaire, encore un peu plus a l’Ouest du lac Tonle Sap et du pays.

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Au moment de quitter Kampong Chhnang, au petit matin, un léger soucis matérialiste me préoccupe concernant mon matos photos, il ne fonctionne pas comme d’habitude, je sens qu’il y a une couille en préparation…

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Nous mettrons 5 heures pour rejoindre notre destination finale et point de vue logement, ce n’est pas ce qu’il manque dans cette ville hyper touristique. La veille au soir, j’avais repéré une adresse bon marché.

First hotel, dans la 101 street.

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6 dollars la chambre, sdb, teloch, wifi, ascenseur. Perfect.

Battambang.

« …a un charme unique. Elle mêle harmonieusement l’aspect d’une cité moderne à la douceur de vivre d’une bourgade et une architecture coloniale…De paisibles excursions d’une journée à vélo ou à moto, permettent de découvrir, alentour, d’anciens temples perchés sur des collines et des villages bucoliques. »

Le guide a appuyé sur la corde sensible « balade à moto, ancien temple », aussi, après le déjeuner, gazzzzzzzzzzz !

Nous partons dans un premier temps visiter le vieux village de Vat Kor.

« à environ 3 kms, il se compose d’ancienne maison khmères pour lequel le village est célèbre. Construites il y a près d’un siècle en bois dur, désormais rare… »

Pas de photos…..je n’ai pas eu envie de dégainer, mais elles ressemblent comme à beaucoup d’autre déjà publié sur les précédents carnets de route, à la différence qu’elles ont un toit d’influence franchich.

Puis nous partons à l’opposé, en retraversant notre lieu de villégiature pour partir vers :

« les routes qui sillonnent la campagne à la sortie de Battambang traversent de beaux paysages ponctués de rizières et de petits villages ou prospère un artisanat local… »

Bla bla bla…

Cette route de campagne qui nous emmènera jusqu’au temple « Ek Phnom »

« …en partie effondré, ce temple pittoresque du XIe se cache derrière une pagode moderne et un immense bouddha »

La voila ma deuxième visite culturelle « Angkorienne »  du pays, après Angkor Borei et son temple plus ancien fait de brique.

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Pour le coup, j’ai réussi a shooter mes plans mais non sans peine, on dirait que le boitier du reflex a du mal a faire la mise au point, il y a clairement un soucis.

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Jeudi 08 Décembre 2016

Programme du jour, balade bucolique dans la campagne environnante pour aller voir le deuxième temple ancien qui se trouve à 28 kilomètre de Battambang, le Phnom Banan.

Apres le café, nous filons en début de matinée sur un mode pépère.

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Selon le descriptif, il parait encore plus jolie que celui de la veille mais il va falloir le mériter.

« Un escalier en pierre de 358 marches grimpe un versant ombragé de la colline (Phnom) jusqu’au Prasat Banan dont les cinq tours rappellent le plan d’Angkor Vat. »

Nous arrivons en milieu de matinée et apparemment, il ne parait pas trop fréquenté mise a part un mini bus dont nous croiserons les occupants lors de l’ascension.

Des touristes franchouillard,

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Anecdote :

Quelques un nous entendent parler et plaisante sur l’accent marseillais bien prononcé de mon poto. Plaisanteries, bla bla bla, lorsque l’une d’entre eux me fait remarquer qu’elle a aussi un soucis avec sa jambe (je suis avec mon aide de camp, la canne rosbeef)

J’ai tout de suite pensé à une « soeurette Maguy » ? Mais non puisque son pantacourt laisse visuellement accessible ses chevilles que j’opère d’un coup d’oeil dans la micro seconde qui suit sa remarque avant d’enchaîner !

« ah bon ? Je ne crois pas que nous ayons le même …en lui  montrant directement mon genou de « l’homme qui valait 3 milliards »….. ça me fait toujours autant rire ces conneries, les expressions de visage !

J’ai failli lui faire le coup du « salto retourné », mais vu les marches qui lui restaient encore a descendre, je me suis abstenu …..lol

Au début, les escaliers était pour le moins accessible, par contre, sur la fin…. de diou !

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L’ensemble à bénéficié d’une belle restauration et donne un jolie aspect de ce que pouvais être l’endroit au XIe siècle.

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On imagine surtout l’énorme boulot qu’il a fallusse pour concevoir dans un premier temps, la plateforme avec tous ses blocs de pierre a monter, et ensuite, la conception des temples…..il n’y avait pas de grue.

Nous y resterons l’heure dans un calme absolu a profiter du lieu. Une belle visite mêlant une partie d’endurance sportive et culturelle.

A la redescente, nous comprendrons que le calme se serait vite transformé en capharnaum vu l’affluence au pied de l’escalier.

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Plus loin, nous nous arrêterons pour le dernier déjeuner, cuisine au bois, pris en commun car mes compagnons de route me quitteront plus tard pour continuer leur programme routier en direction de la thailande.

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Pour ma part, j’irais visiter un peu plus la ville pour tuer l’après midi avec son ancienne gare de train « vous découvrirez des ateliers de réparation, des entrepots et du matériel roulant de la période française »

Mouais,

Les entrepôts et ateliers, comme le conteur raconte, sont surtout utilisé comme habitation de brique et de broc. Un bidonville que je ne shooterais pas par respect de certains habitants qui m’observaient…..la misère qu’on ne voit pas forcement en ville.

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Ce qui n’a pas empêché de prendre la « température » venu à mon encontre.

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Sinon, l’appareil photo déconne à plein tube.  Il m’est désormais impossible de prendre un shoot en plan large avec l’objectif grand angle (17-55). Le problème ne vient pas du boitier reflex puisque j’arrive a shooter normalement avec mon autre objectif, le gros zoom (70-200).

Pour autant, j’arrive a prendre de temps à autre une photo en plan rapproché, comme celle des mioches ci-dessus, ou la voiture du tchoutchou par exemple.

Un fait nouveau est venu se rajouter, il y a un jeu qui s’est installé entre les blocs de la mise au point manuel et celui de la bague du zoom….en gros, il faut ouvrir pour savoir ce qu’il se passe mais comme je ne suis pas mécanicien et encore moins avec ce  genre de mécanique pointue….

Je suis dans la panade totale pour la suite de mon voyage avec un objectif photo qui semble voué a l’inutilisation.

Vendredi 09 Décembre 2016

Départ pour un nouveau lieu chargé d’histoire, je quitte Battambang pour rejoindre le petit hameau de Banteay Chmar qui se trouve a 130 kilo. Au nord Ouest.

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Il me faudra 3 heures pour faire ce trajet puis lorsque j’arrive sur place, je cherche un homestay comme le décrit le guide…

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« Grace a un projet de séjour chez l’habitant, il est possible de loger sur à Banteay Chmar et dans trois hameaux voisins. Les chambres dans des maisons privés, comportent moustiquaires et ventilateur quand l’électricité fonctionne et il y a en général, une salle de bain au RDC. Une partie des bénéfices revient à un fonds de développement communautaire. »

Et c’est grace a l’aide d’un gardien en uniforme officiel que je serais guidé jusqu’à l’un d’entre eux, dans un autre petit hameau, non loin du principal intêret de ma venu et de la route principale.

Chez une petit famille dont je recevrais un accueil des plus sympathique, dans leur maison traditionnelle, sur pilotis.

Ils ont leur chambre au rdc à coté de la sdb et les guests sont logés dans deux chambres, à l’étage. Authentique a souhait !

Le trajet, depuis Battambang, à rendu inutilisable mon objectif photo, j’ai du me résigner a le ranger dans le sac… avec l’espoir de trouver un réparateur à Siem Reap, ma prochaine destination.

Pour l’heure, j’ai ressorti le téléphone portable qui me servira de grand angle pour des photos de qualité médiocre. Tu vas vite t’en rendre compte sur la suite entre celle prise avec le grand zoom et le capteur du téléphone.

Revenons

Banteay Chmar abrite « quelques temples qui furent érigés par Jayavarman II (règne 1181-1219), le plus grand bâtisseur de l’Empire Khmer, sur le site d’un temple du IXe. A l’écart des foules, cet ensemble de temples magnifiques et couverts de bas-reliefs élaborés compte parmi les édifices religieux les plus impressionnants en dehors de la région d’Angkor. »

L’entrée du site est payante (5dollars) par la porte Est.

En revanche, en bon petit filou que je suis, par la porte Sud, il n’y a aucun garde pour contrôler qui que ce soit. Apres le déjeuner, je me suis rendu compte de l’astuce en observant le va et vient des habitants qui s’y engouffraient et j’ai donc suivi le mouvement.

J’y ai fait un premier tour d’horizon pour tester…je reviendrais plus tard.

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Il y a d’autre site a visiter, celui la étant le plus gros mais les autres méritent surement le coup d’œil ?

« Des neufs temples satellites de Banteay, le prasat Ta Prohm et le plus facile a visiter. Ce petit temple en ruine est couronné d’un Avalokiteshvara à quatre visages bien préservé »

Il faut passer par des chemins de traverse mais largement accessible, assez pour que je pose la bécassine devant l’entrée.

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Il est effectivement très accessible, surtout pour un bipède en pleine possession de ses moyens mais par pour le zébulon. Il y a trop de blocs effondrés et j’ai beau être un peu casse coup, la sagesse, elle, ne m’incite pas la visite. Cela dit, j’en ai assez vu pour imaginer à quoi pouvait ressembler le lieu avec sa douve qui l’entoure, sa porte Ouest et ses quatre visages qui t’accueillent. Au centre, on distingue la structure effondré du temple, il devait surement ressembler a ce que j’ai déjà visité ailleurs.

Celui-ci se trouve a proximité de Banteay Chmar, pour le second, il me faudra faire 7 kms sur la route emprunté ce matin, puis 5 km sur de la piste.

Le Banteay Top

« Ses hautes tour endommagés sont particulièrement impressionnantes, édifié à la même époque que Chmar »

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Malheureusement, celui la aussi ne m’est pas accessible, trop de bloc effondré et des quatre tours, il n’en reste que trois en pleine restauration.

D’ailleurs, en visitant un peu autour du chantier, je passerais devant un gars installé dans un hamac qui m’informera que la suite de la visite ne me sera pas possible. Ca ! Je l’avais bien compris !

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S’en suivra une discussion intéressante puisqu’en fait, il s’agissait d’un architecte des monuments historique. Au début il me parlait en anglais et quand il a su que j’étais franchich,  il enchainera dans un bon français sur mes questions et sur ses études d’architecture à Toulouse…

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Je retourne au village pour faire le tour de couillon en image.

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Si tu en veux plus sur l’histoire du site, va sur cet article qui parle notamment des pillages orchestrés

les mystères de Banteay Chmar

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Finalement, j’ai bien fait d’avoir grugé les 5 dollars, le site étant lui aussi compliqué pour Maguy.

Fin de journée, retour à la casa pour découvrir une vie bien rural. Le soir venu, si tu comptes venir dans le coin, il ne faudra pas être trop difficile sur la restauration, car le seul restaurant du village n’est ouvert que le midi. Il y a cependant deux échoppes qui vendent des « en-cas » et pour ma pomme, je me contenterai d’une salade « Som-Tam » , salade de papaye bien connu en Thailande.

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Samedi 10 décembre 2016

J’avais prévu de rester ici deux nuitées, le temps nécessaire pour visiter comme il se doit le sanctuaire à condition qu’il soit accessible ? Ce n’est pas vraiment le cas pour Maguy et comme j’ai la flemme de crapahuter.

Prétexte off.

A vrai dire, le problème de mon matos photo me gonfle, il faut que je trouve une solution rapidos.

La photo, c’est ma passion alors me retrouver avec un simple télephone portable en guise de boite à image…..enfin, tu vois le truc.

Je gaz pour Siem Reap vers 7 hr en quittant cette vie rurale du Cambodge ou les gens se couchent tôt et se lèvent tôt pour partir aux champs, c’est le cas aussi pour mon hôte……a des années lumières du touriste et ses tracas nombrilistes.

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Un trajet de 160 Kilo me sépare de la ville qui abrite les cités d’Angkor ou j’arriverais en fin de matinée.

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A la recherche d’une guesthouse repéré deux jours plus tôt sur internet que je ne trouverais point pendant l’heure qui suivra a déambuler. Ma carte routière électronique ne ma guère aidé sur le coup, m’enfin, ce n’était pas de sa faute mais plutôt celle des services de la voirie qui ne nomme pas leur rues !

Finalement, vu que je ne trouve pas la GH, je m’arrête voir les prix d’une première qui me demande un bras, les deux autres seront « full » et la quatrième sera la bonne affaire.

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8 dollars la chambre, sdb, wifi et la piscine !

Dans l’aprem, recherche désespérément réparateur pour objectif photo….en vain. Je décide de me débrouiller by my self.

A la recherche d’un revendeur de tournevis cruciforme de petit format, que je trouverais mais la note finale sera plutot salé …..

En quittant le shop, je suis la rue sur laquelle je m’étais garé et lorsque j’arrive au bout, un flic me fait signe de faire demi-tour; Vu la configuration du trafic routier, je comprends très vite que j’ai merdé….en sens interdit. Je détale vite fait de peur qu’il me siffle et me fasse signe de m’arrêter.

Ca paraissait tellement facile cette histoire, trop facile même. Je ne fais pas 20 mètres qu’un comité d’accueil me montre la direction du trottoir et de couper le moteur.

« Monsieur, vous avez pris un sens interdit, allez voir mes collègues sur le coté »

J’explique le même topo à ces messieurs de la maréchaussée « je ne l’ai pas vu ! »  et patin couffin…

Bref, j’abrège, d’autant que connais l’issue finale :

«  combien ????!!! »

Il me demande d’aller payer 6 dollars au poste de police (genre je ne suis pas corrompu) en y allant a pied.

« Evidemment, vu votre Maguy,  il y a moyen de s’arranger… »

Hé ma fois ! Ils auront eu ce que j’ai dans la poche, 5 dollars, pour se payer des bières sur mon compte….ca m’apprendra a être encore plus attentif. 

Cout total du tournevis, 6 dollars.

Le temps de digérer un peu cette rencontre piégeuse, je m’attaque a l’opération démontage.

Et c’est bien ce que je pressentais, les quatre vis qui tiennent la partie basse de l’objectif étaient complètement dévissées.

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Il faut dire aussi que je ne ménage pas l’engin, je ne suis pas un brin maniaque…alors à force de se prendre des coups, vibrations…

Je remonte le tout et au premier essaie, l’autofocus ainsi que la prise de plan large fonctionnent normalement.

Reste plus qu’a essayer sur le terrain.

Dimanche 11 Décembre 2016

Sur le terrain.

Je prévois deux jours à Siem Reap, un pour découvrir les environs et l’autre pour me refaire les temples d’Angkor d’une autre façon.

Pour aujourd’hui, je m’en vais voir un village au bord du lac Tonle Sap et zoner autour d’un ensemble de temple.

Très vite, je m’aperçois qu’il y a quelque chose qui cloche avec l’objectif….samerlipopette, c’était trop beau.

Les hautes lumière sont totalement « cramées » en mode auto ! Il n’y a qu’en mode manuel (priorité ouverture) que j’arrive a compenser et encore, ce n’est pas le rendu souhaité.

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Après essai avec la grande focale, le problème ne vient toujours pas du boitier reflex puisque tout fonctionne normalement.

J’ai peu être merdé dans le remontage ? Je verrais cela en rentrant at home dans la journée.

Avant de partir zoner dans la campagne, je file en direction des temples de Roluos, à 15 kms de Siem Reap qu’il est interdit de visiter sans un forfait payant, que je n’ai pas.

Que je t’explique  :

Les cités d’Angkor sont situés aux abords de Siem Reap et pour y accéder, des routes ont été construite de manière a guider le touriste sur un circuit. Ce n’est pas une boucle fermé et le peuple a un droit d’accès mais pour le touriste lambda qui n’a pas acheté de forfait payant (1,3 ou 7 jours), il lui est interdit et impossible d’y pénétrer vu le nombre de « check point » qui contrôlent. Autrefois, à l’époque ou les colons ont redécouvert l’ensemble sous la jungle épaisse, cela se pratiquait à dos d’éléphant.

En revanche, il y a gratuité des cites à partir de 17H……à la tombée de la nuit. Tu peux voir ci-dessous, les circuits.

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A Roluos, quand j’arrive au niveau de l’embranchement, je m’attends à un « check point »  ? Nada ! Je continue mon affaire sur cette petite route qui mène aux deux temples et plus loin, un village, la campagne.

J’y suis venu par hasard connaissant la politique stricte mais vu l’éloignement et la configuration du site, j’ai pensé a un peu de souplesse de la part des autorités ? C’est le cas, puisque les contrôles de forfait ne se font qu’a l’entrée des temples.  

Donc, en arrivant sur le premier, le Preah Ko, je le shoote de loin, puis je file sur l’autre plus imposant, le Bakong, en y faisant le tour de l’enceinte extérieur.

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Au retour, je m’arrête à nouveau devant le premier temple et la, un gars vient me voir, « tu as un forfait ? »

Non !

  • Tu sais que tu n’as le droit de rentrer ?

Bien ouais et alors ? 

  • Ok

Genre, je te mets la pression gentiment dans un parfait anglais.

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Je file ensuite dans la campagne, aux abords du lac, voir ce que je n’ai pas vu l’année dernière.

Un village flottant et ses environs sur pilotis.

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Tiens, pour le coup, je te mets encore deux exemple de tof , la première étant en mode auto qui montre clairement le probleme (meme si je l’ai un peu retravaillé avec Toshop car je l’a trouvais artistique) et la seconde en mode priorité ouverture

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Un avis dans la salle sur ce problème ?

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Je retourne chez moi pour re-démonter l’engin, voir une anomalie de remontage de la veille ? ……non, tous semble correspondre.

Résigné, je laisse béton ….de toute, je n’ai pas le choix en attendant de rentrer en Provence pour la grosse révision. Il fonctionne, c’est le point positif. 

Fin d’après-midi, je file au nouveau centre d’achat des forfaits pour la visite des temples d’Angkor. Je prendrais celui d’une journée à 20 dollars, ensuite, vu l’heure (17hr), la gratuité du temple d’Angkor Vat est accessible, gazzzzzzzz sur 5 kilo.

Normalement, les deux roues ne sont pas autorisés a pénétrer aux abords de la porte Ouest, mais les privilèges de Maguy sont toujours aussi surprenant.

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Lundi 12 Décembre 2016

Jamais deux sans trois qui dit l’adage….

Ma troisième visite des cités d’Angkor et de son plus grand batisseur, le roi jayavarman II se fera comme je l’avais imaginé il y a 7 ans, en deux roues et en totale autonomie de parcours.

Pour autant, je ne compte pas marcher comme les deux précédentes éditions, d’une part parce que  Maguy se tare quelques douleurs récurrentes et de deux, je connais la majorité d’entre eux.

Aussi, je vais tenter d’en découvrir certains que je n’ai pas eu l’occasion de visiter, quant aux principaux, je les « survolerais » vite fait pour le plaisir.

Je me lève aux aurores pour débuter le « grand circuit long de 26kms » dans le sens inverse habituel, pour éviter bon nombre de touristes mais surtout, en espérant observer le lever de soleil ? Sur le Sra Sang,«  un bassin d’ablutions réservé au roi et ses épouses long de 800M. »

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Que dalle ! Le ciel est voilé ce matin…..pfff

Juste de l’autre coté de la route, en 2, le Banteay Kdei.

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En 3 , le Pré Rup

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En 4 le Banteay Samre

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En 5, le Preah khan

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En 6, le Banteay Prei

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Totalement outside du circuit habituel, un petit temple qui vaut franchement la visite, d’ailleurs, lorsque j’arrive, il y a un autre touriste avec un guide, ils parlent français.

J’écoute un peu l’air de rien et quand le franchich s’éloigne un peu du guide j’en profite alors pour demander

  •  Pourquoi manque t’il autant de visage sur les « Apsaras » (sculpture de danseuse)

« Parce que les têtes sont plus faciles a extraire et ce pillage a servit a enrichir pas mal de gens, qui sont désormais au pouvoir exécutif. »

Je hais tous ces collectionneurs qui ont créé ce pillage organisé ! Tant d’œuvres dénaturés, détruites à jamais juste pour satisfaire un égo surdimensionné….je les hais profondément !

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Plus loin, la plus grande cité laissé par le plus grand bâtisseur, en 7, Angkor Thom complex et sa porte d’entrée Nord.

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En 8 , (inside), le North Kleang

Note l’épaisseur de la terrasse.

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Toujours dans l’enceinte gigantesque, en 9, le Baphuon….note encore l’épaisseur de la terrasse qui la, doit bien faire ses 10 mètres de hauteur.

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« L’école française d’Extrême orient se consacrait à la restauration du Baphuon lorsque éclata la guerre civile, qui interrompit les travaux pendant 25 ans. Alors que le temple avait été démonté morceau par morceau, selon les principes de restauration par anastylose, tous les registres furent détruits durant la période Khmers rouges. Les spécialistes se retrouvèrent ainsi avec quelque 300000 pierres a remettre en place. Apres des années de pénibles recherches, le temple fut partiellement restauré… »

C’est vrai qu’après avoir fait le tour, il y a encore beaucoup de travail.

En 10, le célèbre Bayon « est le temple d’état du légendaire roi de l’empire khmer. Son audace architecturale incarne le génie créatif et l’égo hypertrophié de ce souverain énigmatique. »

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Scène surréaliste en arrivant sur la terrasse qui domine l’ensemble. Les touristes chinois, en masse, et pas des pauvres à la vue de leur matériel photographique qui me laisse rêveur.

Certains, au culot, demandent à des filles occidentales de prendre la pose shooting …… trois mordes à l’hameçon pendant que ton conteur observe la scène et en profite pour shooter d’autre pose. 

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Je quitte Angkor Thom, juste à coté de la porte Est, en 11, le Chau Say Tevoda

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A noter qu’il y a, encore et heureusement, quelques Apsaras en très bon état et non pillées.

Plus loin, en 12, le Ta kéo.

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A ce stade, j’ai quasiment finit la boucle et il est déjà 15hrs alors que je tourne depuis ce matin 7hrs !

Je décide de reprendre la boucle initial car il y a un temple qu’il me faut absolument « survoler » pour sa particularité, que j’ai zappé ce matin.

En 13, le Ta Som

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Non, ce ne sont pas ces magnifiques Apsaras dont la finesse des sculptures sont totalement hallucinantes…900 piges aux bas mots, pas une rides, du taillage au laser !

Mais la particularité du lieu est sa porte Est enlacée par la nature.

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Enfin, pour finir cette journée visite marathon, comment pourrais je manquer le coucher de soleil sur le célébrissime Angkor Vat, en 14.

  • Le privilège de Maguy

Hier, pour aller voir le couché de soleil sur la porte Ouest de cette immense œuvre, il a fallu que je fasse le coup du « pied à l’envers » de Maguy pour que les gardiens me laissent entrer avec la bécane plutôt que de me garer sur le parking commun.

Néanmoins, cette petite faveur s’arrête au bout de 300 mètres car après, il faut reprendre le mode pedestrian pour accéder à l’intérieur de l’enceinte. Pour ce faire, traverser la passerelle en bloc de pierre d’époque, d’une bonne centaine de M, qui enjambe la douve et qui mène à la première porte, puis, se taper environ 500 mètres pour arriver au pied du temple monumental, le tout, dans la masse touristique avec ses excès

Ce dont je me suis abstenu, préférant juste me caler au bord de la douve pour préserver la Maguy, qui, comme écrit plus haut, ne  pète pas la forme. 

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Pour ce soir, je tente une autre astuce afin d’aller me passer une fin de journée, relaxe, a admirer une dernière fois l’édifice. A condition que ….

Je me pointe à la porte Est, à l’opposé, et quand j’arrive devant les gardiens pour négocier l’entrée avec la mob, ils refusent catégoriquement. Je n’ai pas eu d’autre choix que de leur faire un début de « Maguy contorsionniste, salto arrière »  pour qu’ils abdiquent gracieusement…….mouarf !

A partir de la, je jubile comme un gamin car je sais que pour le touriste lambda, il est totalement interdit de se promener dans ce parc en deux roues ! Y compris les vélos, c’est dire ! Autrement dit, la visite touristique ne peut se faire qu’a pieds (Si tu connais le site, toi, cher lecteur, tu sais de quoi je parle)

Ci dessous, la vue depuis l’Entrée Est et je crois que pour le sunset, je vais pouvoir me gratter vu la couche nuageuse persistante.

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Je me retrouve dans un premier temps sur le coté Nord ou il y a pas mal de boutiques à souvenir et de boissons qui jouxte le petit lac servant de miroir.

Ca grouille de touriste en majorité asiatique…..ils me gonflent. (toujours les mêmes qui n’ont aucun savoir vivre)

Le temps de prendre quelques photo de ce coté la avec mon nouveau copain, il ne m’a pas lâché le petit mignon….

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….je file voir de l’autre coté sud, si l’herbe est meilleure.

Anecdote :

Avant de rejoindre cette partie, je fais un crochet vers la porte Nord, ci dessous, qui est à proximité du trajet et c’est en revenant sur mes pas, que la bécassine commence a brouter, brouter, pour finalement caler devant l’enceinte coté Nord.

La coquine a voulu trinquer pour marquer ce privilège unique ! (Véridique, réservoir a sec)

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De l’autre coté, je retrouve un peu de sérénité puisque beaucoup moins fréquenté avec un autre point de vue.

Les gardiens de cette partie du site ont un peu halluciné en me voyant me garer a leur coté, mais rapidement, la vue de Maguy fera redescendre la tension.

D’ailleurs, je sympathiserais avec l’une d’entre eux en guise de couché de soleil, qui sera absent ce soir la, et mes félicitations pour son futur enfant qui ne devrait pas tarder.

Voila, bécassine….aurais tu cru un jour pouvoir te retrouver devant une telle vue ? Merci qui ?  Merci qui ? ……. merci Maguy bien clur !

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Ah au fait, si tu veux plus de photos des temples cités plus haut…..euh…..c’est sur zebulon.com et l’article de 2015 

Allez, stay online

A suivre, la dernière semaine au Kampuchéa et passera, passera pas ? Qui vivra verra 😉

Portes toi bien 😛

A plouch.

8 Comments

  1. Marco

    Salut Chris.
    En regardant le fichier exif de ta photo cramée (N° 3484) je vois une exposition correcte pour une photo de plein jour : sensibilité 100 iso, vitesse 1/250ème et diaphragme f/8, pas de quoi surexposer ta vue.
    La sensibilité et la vitesse dépendent du boitier, qui donne « l’ordre » à l’objo de fermer le diaphragme => à mon avis c’est le dia qui ne se ferme pas, il a certainement shouté à la pleine ouverture de l’objectif … Cramant ta photo.
    Je ne sais pas comment il est sensé se fermer … nettoie les contacts électriques de l’objectif s’il y en a, regarde si ce ne serait pas plutôt une transmission mécanique qui ferme le dia ?
    En tout état de cause puisqu’il semble refuser de se fermer tu peux tenter d’utiliser le mode semi-auto priorité diaphragme, en l’ouvrant au maximum. Le boitier compensera en sélectionnant une vitesse d’obturation plus rapide.
    Si beaucoup de lumière il te faudra aussi descendre la sensibilité : tu dois certainement dans le menu pouvoir choisir 25 ou 50 iso.
    Si peu de lumière, ben t’augmente ! 200, 400 etc iso, en général jusqu’à 800 iso la qualité reste acceptable.
    Enfin tient compte qu’avec une grande ouverture de dia la profondeur de champ sera réduite.

    Vala, sais pas si ça peut t’aider. La biz !

    • christophepoli

      c’est ce que j’ai pensé marco, le dia ne ferme plus en mode auto, il y a clairement un surplus de lumière que l’ordi n’arrive pas a gérér…. et j’ai effectivement pensé a une couille mecanique lorsque j’ai remonté le bordel, mais en redemontant, je n’y ai vu rien d’incohérent, d’autant que les pieces que j’ai enlevé puis remonté ont leur place adéquat, il n’y a pas de possibilité d’inverser car sinon, l’emplacement des vis de fixation ne correspondrait plus…et oui, j’ai été obligé d’utiliser le mode diaph puisqu’avec celui ci, je peux au moins arriver a tirer du potentiel de l’appareil. Pour le mode iso, je l’ai mis en auto directement….faut pas trop m’en demander, lol
      Par contre, c’est la ou je vois que la aussi ca merde, c’est que lorsque j’ouvre en grand pour avoir de la profondeur, je n’en ai pas, bien au contraire…
      bref, je verrais ca en rentrant.
      merci marco

      • Marco

        Attention Chris :
        – Grande ouverture de dia (F1,4 /2/2,8 par exemple) = faible profondeur de champ ; c’est ce qu’on utilise pour les portraits par exemple, on fait la mise au point sur le visage qui est net et se détache bien sur un fond flou.

        – Petite ouverture de dia (F8/11/16 par exemple) = grande profondeur de champ, c’est ce qu’on utilise pour avoir un paysage net avec un premier plan net ; on fait la mise au point sur le premier plan, et tout le paysage derrière sera net également.

        Il est parfaitement normal qu’à gde ouverture tu aies une faible zone de netteté.

        Pour régler la sensibilité, s’il n’y a pas une molette dédiée (? Je ne connais pas ton appareil) c’est dans le menu et c’est exprimé en iso : 25, 50, 100 sont de faibles sensibilités qui donnent d’excellents résultats s’il y a de la lumière.

        En lumière faible, tu utilises 400, 800, 1600, 3200 iso.

        En général les résultats sont moins bons ; suivant la qualité du capteur au dessus de 800 ou 1600 iso le grain et le « bruit numérique » apparaissent, couleurs et finesses se dégradent.

        Tchuss !

  2. Marco

    … « Censé » avec un C nom d’un petit Larousse !

    J’ajoute : bien sûr lorsque tu utilises le 70/200 repasse en mode auto puisque lui fonctionne.

  3. Bruno K

    – Hello Tof,

    Un petit mot pour tes petits soucis de caillou. Apparemment, ton objectif,comme dit plus haut,a des soucis de diaph, en mode tout auto et pas dans les autres modes apparemment. Tu fais bien de travailler en prio diaph(mon mode de travail de tous les jours). Ça te laisse une grande marge de manœuvre pour une bonne maîtrise de l’expo de tes photos.
    Continues ainsi dans ce mode. Pour ce qui est de la correction, pense à utiliser celui de tes indices de luminance ( -1/3 iL, -2/3iL par exemple, après choix d’ouverture, ce qui te saturera tes couleurs entre autre, en sous exposant légèrement). Perso,je me sers rarement de l’indice opposé ( +1/3 ou +2/3 iL ou +1iL), mais de toute façon, chacun voit selon ses besoins.
    Voilà mon Poto, si ça peut te dépanner. Mais ne mets surtout pas les paluches dans la mécanique! Tu ferais plus de mal que de bien. Laisses ça aux pros ! ils ont l’outillage pour.
    Bonne continuation poulet. A+
    Bru

    • christophepoli

      Vi bru, c’est ce que j’ai compris en matant une vidéo d’un cours, le mode A sur le nikon est l’outil qui rend meilleur….Pour le coup, je n’ai pas le choix, mais ce qui m’arrangeait avec le mode auto et surtout le spécifique sportif est son coté figeant, car je prends pas mal de tof a la volé quand je roule…ceci dit, oui, il y a clairement un probleme d’ouverture, je comprends pas ou car j’ai bien remonté le bordel comme il faut, bref, je verrais ca a mon retour. Quoi qu’il en soit, je continuerais a utiliser le mode A par la suite, gracias et bon voyage;

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